tag:blogger.com,1999:blog-4555643572926376728.post1946073477065439403..comments2024-03-25T18:54:37.244+01:00Comments on Tous les garçons s'appellent Patrick: Pulpe friction ou le pays de BardotPatrick Mandonhttp://www.blogger.com/profile/05608407288812489002noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-4555643572926376728.post-22288274992028431202016-01-30T18:57:12.400+01:002016-01-30T18:57:12.400+01:00Béat, mon amour pour Bardot ? Je ne crois pas, Nua...Béat, mon amour pour Bardot ? Je ne crois pas, Nuage. Bardot m'apparaît comme un moment de perfection, une sorte d'aboutissement de civilisation. Elle ne pouvait naître et croître que dans ce pays, où elle incarne un émerveillement. J'ai essayé d'expliquer pour quelles raisons tout cela se produisit. Bardot a trouvé réunies les conditions de son épanouissement. Elle signale l'apothéose (et le déclin) d'une certaine bourgeoisie française, encore assurée du rôle qu'elle peut jouer, mais, dans le même temps, portant à son point de rupture son droit à manifester son goût, ses caprices, sa liberté. Après elle, cela ne sera plus possible. Regardez la vivre, saisir ce qui passe à sa portée et lui plaît : elle est souveraine. Elle a mille ans de civilisation et d'évolution derrière elle, elle a plus d'un siècle d'énergie bourgeoise, mais encore de contradictions, de chagrins, d'ambition nés de la révolution bourgeoise de 1789. J'exagère ? Je me trompe ? Je me trompe souvent, j'exagère toujours !<br />Enfin, elle ne m'a jamais déçu. Je ne me soucie pas de ses déclarations politiques en faveur de la firme Le Pen, et je soutiens son combat en faveur des animaux. La condition que nous imposons à ces derniers est l'une de nos fautes mortelles. Les animaux sont innocents. Je sais, mon cher Nuage, que d'autres innocents, humains ceux-là, ont disparu dans « la nuit et le brouillard ». Et tant d'autres après. Il n'empêche : nous faisons subir aux « bêtes » un vrai calvaire. Pensez à cette histoire, que m'a donnée un jour un ami tunisien : après sa mort, un âne monte au ciel. Un joli chemin semé de fleurs s'ouvre devant lui. Il l'emprunte. Les oiseaux chantent, il fait beau, une pancarte annonce « Direction le Paradis ». L'âne accélère le pas, tout heureux. Or, après un virage, il entend des rires d'enfant. Aussitôt, il fait demi-tour, se disant à part soi : « Si des enfants se trouvent là, ce ne peut être le Paradis ! ». <br />Bardot ma ferveur, my fever, Bardot for ever !Patrick Mandonhttps://www.blogger.com/profile/05608407288812489002noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4555643572926376728.post-85418504009397776352016-01-30T15:35:07.297+01:002016-01-30T15:35:07.297+01:00Vos hommages à B.Bardot sont frissonnants, tels de...Vos hommages à B.Bardot sont frissonnants, tels des messages d'amants éperdus et perdus. Vous l'aimez comme on l"aime ici, de cet amour béat qui laisse un léger sourire sur nos lèvres, un sourire sans équivoque et sans espoir avéré. Elle rendit tant d'hommes heureux -on peut l'imaginer - et tant malheureux... Tenez, Gunther Sachs qu'au bout de quelques semaines elle trompait allègrement pour retrouver S.Giansbourg, pourtant peu gâté physiquement par la nature! Allez comprendre. <br />Notre tendresse pour elle quoi qu'il a pu se produire reste te restera intacte. Et puis le talent autorise tout, même de bien mal vieillir.Nuagesneufhttps://www.blogger.com/profile/18369859079911531666noreply@blogger.com