Nous parlions précédemment de Coco Chanel, la voici, dans la vitrine de Galignani, la plus belle librairie de Paris, sous les arcades de la rue de Rivoli (ci-dessus). Les décorations de Galignani sont toujours remarquables, et l'accueil que l'on fait au client efface les mauvais souvenirs des vendeurs maussades, qui sévissent dans les rayons des supermarchés culturels.
Et encore, cette surprise (ci-dessous) : une œuvre de Louise « Loulou » de Vilmorin, dans la vitrine de la galerie Au bonheur du jour, à l'angle des rue Chabanais et Cherubini, dirigée par Nicole Canet, une femme pleine de ressource et d'audace, que je vous ai déjà présentée, dont l'esprit de curiosité ne nous lasse pas.
(Louise de Vilmorin, Femme au repos, aquarelle, 1937)
Photographies P. M.
4 commentaires:
Le propre des villes hipppiques comme Paris, c'est que chacun y met ce qu'il veut chère Alice. Pour moi, c'est toujours nostalgico-monde d'ailleurs. Une plongée dans un cosmos qu'on ne trouve plus que très exceptionnellement en Angleterre. Pour trouver une radio clanique musicale, il faut tourner le bouton sur Dublin. Ce genre de détails me ravit politiquement. Mais j'absous volontiers que je dois être lasse.
Quant aux souvenirs torrides et aux remèdes, vous avez raison bien sûr, mais certains nous ont bien aidés à devoir nous contenter de naviguer à vue. Parole de planète...
tu es foutu
L'aquarelle de Louise de Vilmorin est superbe ! Quelle trouvaille, cher Patrick et comme c'est aimable de nous la faire partager. Vos photos sont comme à l'habitude parfaitement réussies.
Elle qui n'en laissa guère (de repos) aux hommes qu'elle ne cessa de séduire nous pâme un peu plus avec son titre, comble de l'ironie...
de la même mouture parti se reposer dans sa maison de campagne
Enregistrer un commentaire