Il n'est pas vain de penser à nos morts et, en particulier, à nos mères, quand elles sont mortes.
Jean-Roger Caussimon - Ma mère par Leboc
Et pour mon ami Thierry O., kiosquier très singulier, qui vient de perdre son père, cette chanson, de et par Barbara :
PS : L'accès à Lettres de Moscou se fait désormais sur invitation. Qui pourrait m'obtenir un carton ?
5 commentaires:
Ma mère, mon dieu, c'est pour moi la plus belle des chansons de Caussimon. [Seule cette odieuse orchestration m'a empêché de la publier sur la crevaison ! la semaine dernière.]
Pensons-y d’ailleurs de leur vivant, c’est encore mieux. Une belle histoire juive ashkénaze devenue d’ailleurs je suppose avec le temps une sorte d’apophtegme dit à peu près que Dieu se rendit compte qu’il ne pourrait s’occuper de tout sur terre. Alors il créa la mère.
Quelle joie de trouver votre blogue réanimé, cher Patrick !
Je savais que JM réagirait au quart de tour ! Mes pensées amicales et tendres pour sa Mamica.
Je vous l'aurais deja envoyee, cher Patrick,mais LDM est ferme pour travaux,et cela traine,merci de me le rappeler,a bientot.
de l'avis de JMT et sinon, dire à ceux qu'on aime, sans réserve, qu'on les aime ainsi, nos enfants, nos parents, nos conjoints, nos amis, chacun de nous a sa hiérarchie et sa façon, moi je cuisine et j'écris
et bien décidée en ce début d'automne d'arrêter de courir après le vent, me recentrer sur l'essentiel, ce qui me rend heureuse, et par ricochet tous ceux que j'aime
des patrick, de cette élégance, pour moi il n'y en a qu'un
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