Tous les garçons s'appellent Patrick

Nomade's land

mardi 16 avril 2019

Le Drame de Paris 2


Publié par Patrick Mandon à mardi, avril 16, 2019
Libellés : Il est plus tard que je ne crois

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Célestine ☆ a dit… Un petit bonheur que cette séquence, la beauté raisonnable, mais en tout cas sublime, de cette légende vivante (une des dernières avec Bardot) qu'est Alain Delon, et comme un morceau de madeleine trempé dans du thé, l'air des ramoneurs de Mary Poppins. Merci pour tout cela, cher Patrick. Bien à vous ¸¸.•*¨*• ☆ 31 mai 2018 à 20:13 Patrick Mandon a dit… C'est vrai, « un petit bonheur », de ces « petits bonheurs » qui vous font un galant cortège… Lorsque vous avez lu ce texte, il était loin d'être achevé. Mais, c'est parti trop vite. Mes excuses, Beaux Yeux ! 1 juin 2018 à 00:27 le 22/04/17 « d'une actualité brûlante » : bel esprit d'à-propos ! Dans ce pays béni des dieux, l'esprit le plus archaïque, le plus cruel, le plus absurdement cruel inspire les actes les plus terrifiants. Nous en sommes là. Comme vous, je préfère la version Hardy-Delon. sur Injoignables Patrick Mandon le 22/04/17 Très bel article. Et toutes des choses que je découvre. Deux magnifiques Françoise Hardy. Je préfère d'ailleurs sa version de Modern style à la version originale de Jean Bart. Les pays sont faits de morceaux qui ne se joignent plus ... où on court dans la rue pour sauver sa peau C'est d'une actualité brûlante ! sur Injoignables V. s le 22/04/17 Ce poème est décidément secouant. Et je l'avais donné l'an dernier: http://nuagesneuf.blogspot.fr/2016/03/blaise-cendrars-paques-new-york.html sur le blog Nuagesneuf dans une trilogie consacrée aux fêtes de Paques chrétiennes. On y notera une graphie en "dyptique" Désolé, ce n'est pas le bon mot; ma mémoire ce matin est brinquebalante... Seigneur, c’est aujourd’hui le jour de votre Nom, J’ai lu dans un vieux livre la geste de votre Passion, Et votre angoisse et vos efforts et vos bonnes paroles Qui pleurent dans le livre, doucement monotones. Un moine d’un vieux temps me parle de votre mort. Il traçait votre histoire avec des lettres d’or etc, etc. Quant à l'allusion aux rythmes du "rap" eh bien c'est mon père, pétri et passionné de poésie classique s'il en fut, qui nous le fit remarquer il y a longtemps, lui qui nous récitait par cœur de longs poèmes de Hugo en les scandant parfois en rap! Ah! Mon père, ce héros au sourire si doux... Le bonjour vous va. sur Saint Blaise Nuageneuf le 22/04/17 C'est étonnant, avant même de voir la video, lisant à haute voix le texte, je lui trouvai une métrique de rappeur. (Le rythme me faisait penser, sans doute, à la partie parlée de cette célèbre chanson.) Des vers de treize ou quatorze pieds, effectivement c'est assez électrique. Mon âme est une veuve en deuil au pied de votre Croix; Vrai. Une vraie châtaigne. ¸¸.•*¨*• ☆ sur Saint Blaise Célestine ☆ le 21/04/17 Si le mot moderne, dont on abuse, a un sens, il le prend avec le grand Blaise, relativement à la poésie. Alors, oui, c'est lui le pionnier de l'électricité dans ce domaine. il comprend, avant tous les autres, le bouleversement qui s'opère, et que la Grande guerre va révéler. Le XIXe siècle dure encore un peu dans le XXe, puis Blaise vient, et tout devient clair : je vous souhaite de nombreuses châtaignes ! sur Saint Blaise Patrick Mandon le 21/04/17 Une très bonne idée. Un texte que j'ai relu avec plaisir grâce à vous. Merci. Et pour votre appréciation de la poésie de Cendrars, vous avez tout à fait raison. Moi, en le lisant, je me prends souvent des "châtaignes". sur Saint Blaise V. s le 20/04/17 Gare à la fureur prolétarienne ! sur Saint Blaise Patrick Mandon le 18/04/17 "Blaise Cendrars a installé l'électricité sur tout le réseau poétique !" Splendide ! Rien à voir avec les rappeurs : quand la fureur prolétarienne s'abattra, ils partiront dans des camps de rééducation... Ramon Mercader sur Saint Blaise Anonyme le 18/04/17 Merci, je suis toute rougissante. La découverte de ce musicien (puisqu'il est avant tout guitariste) est toute récente pour moi, et à peine avais-je commencé à le mieux connaître que j'ai appris sa disparition soudaine. Cela m'a affligée comme la mort d'un ami, tant il y a de bonté, de simplicité dans son art, alors qu'il est réellement virtuose. sur À nul autre pareil, le plaisir de déplaire Anne le 15/04/17 Chère Anne, une fois de plus, vous manifestez un goût remarquable. Je ne connaissais pas cette chanson. Je vais en traduire le texte, puis je la déposerai dans ce blogue. Au vrai, vous m'avez révélé un auteur, un compositeur, un interprète. J'aime tout, ici, et cette voix de confidence, de murmure… Vous avez été l'une des premières à fréquenter Tous les garçons ; vous y venez rarement, mais vous revenez toujours. Grazie mille ! sur À nul autre pareil, le plaisir de déplaire Patrick Mandon le 15/04/17 Cher Patrick, Bien que récente (mais celui qui la chante, au coeur trop fragile, Fausto Mesolella, vient de mourir), cette chanson aussi semble venue du monde d'autrefois: elle parle de l'âme. J'aime la sobriété, la sagesse toute simple de ce "clip", qui j'espère vous plaira: https://www.youtube.com/watch?v=4JwtKsSKogQ J'ai plaisir à vous relire, après ce long silence. Anne sur À nul autre pareil, le plaisir de déplaire Anne le 14/04/17 Je vois la date 2011, mais votre texte est antérieur, sans doute. Vous avez raison d'user de l'ironie contre ce genre de terrorisme par le langage, mais nous sommes en vérité désarmés devant l'emprise de ces salopards de l'enseignement. Je suis favorable à un Nuremberg de l'école : on jugerait les pédagogistes, et, à la fin, on les pendrait par la langue (française), par où ils ont péché. Cela me réjouit, Célestine, de vous savoir opposée avec cette rage subtile à ces personnages gonflés d'eux-mêmes. Cela me réjouit mais ne m'étonne point ! sur À nul autre pareil, le plaisir de déplaire Patrick Mandon le 31/03/17 J'ai entendu un jour un de ces Diafoirus, un inspecteur dont j'aurais dit « de mes deux » si j'avais été un homme. Il avait intitulé tout fier de lui sa conférence « Une année sans dictée, chiche ? » Affligeant et dangereux. Mais adoubé par le ministère Le but cependant est atteint depuis longtemps : les élèves n'ont plus d'orthographe, même en classe prépa. Je ne résiste pas à l'envie de vous faire lire (ou relire) le texte que j'avais affiché dans la salle des maîtres de manière totalement subversive. Je dénonçais cette insupportable langue de bois utilisée par les pédagogistes et qui s'est déversée comme une grosse bave verdâtre et visqueuse sur tous les secteurs de l'école, jusqu'à la nausée. Merci pour le compliment qui me touche. ¸¸.•*¨*• ☆ sur À nul autre pareil, le plaisir de déplaire Célestine ☆ le 31/03/17

Gotha ou Les très fréquentables

  • Chez Esther ou l'ondoiement voluptueux
  • Cinematique : le cinéma permanent de Ludovic Maubreuil
  • Didier Goux, plus d'un Dutourd dans son sac
  • Dsata possède un chic fou
  • Feu sur le quartier général ! Lutte et turlutte de classe !
  • Ivan Rioufol
  • La crevaison ! Le frémissant Joël H.
  • Le merle moqueur : un oiseau sur sa branche, une femme à sa fenêtre
  • Un pas de côté, ou la chanson de Roland
  • annavalenn, donne envie d'espérer
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  • noel69aclermontferrand : le charme d'une « florentine » dans le Massif central ! Les exquis mots de Florence…
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La crème de Tous les garçons

Elle y est retournée ! Qui ? Mais Corinne, voyons ! Où ? Eh bien, mais, à New York ! Elle nous en a rapporté (c'est ici) une brassée de photographies et quelques commentaires, qui donnent envie d'y aller et soulage du chagrin de ne pas l'avoir accompagnée. Connaissez-vous Ravenne ? Corinne nous en a ramené des vues sans bévue. Si vous avez oublié quel grand écrivain fut Keyserling (le frère de l'autre) Nadia Moscovici vous le rappelle. Trois beaux esprits se retrouvent, trois hommes, faillibles comme tous les autres, habiles mais jamais vils, et si aimables, si fréquentables : Casanova, le cardinal de Bernis, Roger Vailland. On les rejoint là. Olyvier, le garçon aux semelles de vent, qui n'aime rien tant que l'autre et son contraire, revient d'un grand périple dans «l'Orient compliqué et lointain». Sa soif du monde semble ne pouvoir s'étancher : voyez comme sont fraternelles ses couleurs contre la mélancolie. Vous ne le connaissez pas, mais il connaît tout le monde. Il a guidé la Rolls blanche de John Lennon, il s'appelle Henry. Un jeune homme nommé Marlon Brando vous attend sur le trottoir. Sa présence à l'écran fut une grâce ; nous n'avons pas oublié The fair lady. Nous célébrons en ce lieu, dans la personne de Jean Cocteau, l'enchanteur du XXe siècle. On trouvera ici un texte de Nadia Moscovici, sa lecture «de confrontation» avec l'œuvre impressionnante et la personnalité énigmatique de Ernst von Salomon. Et l'on poursuivra l'observation du paysage allemand, entre les deux guerres, en suivant le Maudit et en écoutant la grande Dietrich chanter Lili Marleen, lors de son ultime apparition publique. On suivra Nadia Moscovici, l'européenne, à Bucarest, et l'on retrouvera la sculpturale Émilie, qui mêle son grain de sel au sable de la dernière plage avant l'automne.

Libellés

  • A man and hiis music (2)
  • A man and his music (42)
  • A man and his music Les sentiments nous mènent une vie d'enfer (4)
  • A man and his music Les sentiments nous mènent une vie d'enfer Il est plus tard que je ne crois (1)
  • A man and his music Beau gosse (1)
  • A man and his music Cinésentimental Des hommes fréquentables (2)
  • A man and his music Des hommes très fréquentables (1)
  • A man and his music Il est plus tard que je ne pense (4)
  • A man and his music Les sentiments nous mènent une vie d'enfer (2)
  • À part soie… (1)
  • âme sœur (1)
  • Angle de vue (5)
  • Arthur R. (2)
  • Au fond du parc… (1)
  • Beau gosse (14)
  • Beau gosse Il est plus tard que je ne crois (1)
  • Beau gosse Il est plus tard que je ne pense (1)
  • Bouche d'ombre (3)
  • Briser la glace (1)
  • cantates et piano (2)
  • Chansons à reprendre (2)
  • Chez les tziganes (3)
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  • cinésentimental (14)
  • cinésentimental beau gosse (1)
  • cinésentimental Les sentiments nous mènent une vie d'enfer (4)
  • Corinne dans le texte (6)
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  • Des hommes fréquentables Jolies femmes Beau gosse (1)
  • Des hommes fréquentables. De l'un à l'autre. (1)
  • Des hommes très fréquentables (3)
  • Des yeux pour voir (15)
  • Destins croisés (1)
  • Dévotion (1)
  • En chanson (16)
  • En chanson Chansons à reprendre cantates et piano Les sentiments nous mènent une vie d'enfer (1)
  • En passant (3)
  • En russe (1)
  • Encore un peu d'amour (35)
  • Encore un peu d'amour… (4)
  • Entre les cornes (1)
  • Franz Josef aimait les beaux uniformes (1)
  • Grand timide (2)
  • hamster (1)
  • Histoire (presque) sans parole (1)
  • Histoire sans parole (3)
  • Histoire sans paroles (1)
  • Hommage froid (1)
  • Il est plus tard que je ne crois (51)
  • Il est plus tard que je ne crois A man and his music (1)
  • Il est plus tard que je ne crois… (1)
  • Il est plus tard que je ne pense (1)
  • Il reste l'essentiel (5)
  • intermède tragique (4)
  • jeux de mains (1)
  • Joël de Lyon et le mystérieux saint … (1)
  • Jolie femme (22)
  • L'âge de déraison (1)
  • L'écume des jours (1)
  • L'illusion nécessaire (1)
  • La Beauregard (2)
  • La bonne chanson (4)
  • la CAMIF (1)
  • La chiennerie française (5)
  • La conversation comme un art (1)
  • La croisière jaune (1)
  • La littérature comme art de vivre (9)
  • La vie des autres (3)
  • La vie élégante (9)
  • Le chant des départs (1)
  • Le chant des départs… (1)
  • Le choix des uns (1)
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  • Le temps qui reste (2)
  • Le vieux monde est devant moi (2)
  • Les brunes comptent pour la Pomme… (2) (4)
  • Les fâcheux (13)
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  • Les sentiments nous mènent une vie d'enfer Chansons à reprendre (1)
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Lettres coquines de et à la Beauregard : voir Plaisirs secrets d'une marquise de province.

Lettres coquines de et à la Beauregard : voir Plaisirs secrets d'une marquise de province.
La marquise aux yeux de braise est farouche, on ne l'approche ni ne la touche… Est-elle dévote ou bien ribote ? Illustration : Johann Heinrich Füssli, Brünhild a ligoté Günther !

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