mardi 25 janvier 2022

Mes (a)vœux

Que l'année nouvelle nous débarrasse des importuns (vous mettrez les noms de ceux qui vous importunent) et nous laisse entrevoir un troisième millénaire plus conforme à nos intérêts. Dans l'attente de ce lointain avènement, je souhaite le meilleur à ceux qui passent encore par ici.

Suzy Solidor « dit » ce poème (qui est également une chanson), elle s'acquite fort bien de cette tâche, qu'un comédien « cambré », l'un de ces capés de la scène française aurait massacré (au hasard Francis Huster…).




Et puis cela aussi, parce que c'est frais, acidulé comme un bonbon qui suscite l'envie dans son bocal de verre, et que cela appartient déjà au « monde ancien » (Jacno possédait un vrai talent) :








Pour Suzy Solidor, on lira Soldes avant fermeture -3- et Dans l'ordre du désir

5 commentaires:

Célestine ☆ a dit…

Le poème est magnifique, et récité fort sobrement en effet. Sans artifice ou effet de manche.
Je passe toujours par ici, à petits pas silencieux. D'ailleurs vous n'avez pas relevé mon dernier passage...qui remonte à quelques mois déjà.
Je vous souhaite une belle année, cher Patrick.
Gardez la flamme.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆

Patrick Mandon a dit…

Comment ? Je n'aurais pas relevé le dernier (l'avant-dernier, donc) message que le plus beau regard de la « sphère » a laissé dans ce blogue ? Voulez-vous dire que je ne l'aurais pas publié ? Impossible, ou alors, victime d'un brutal effondrement de neurones, je n'aurais fait aucune différence entre l'intervention de Begli Ochi et l'irruption intempestive de quelque fâcheux ? Je n'ai pas retrouvé ce message. Vous m'en direz plus si vous le souhaitez. Je dépose à vos pieds tous les souhaits de bonheur que vous méritez de recevoir.

Célestine ☆ a dit…

C'était sur votre billet « Fin de saison »
Et quand je dis que vous n'avez pas relevé, c'est simplement que vous n'avez pas vu mon invitation à venir découvrir une photo de moi (publiée le 28 juin, certes, cela commence à faire loin...)Une photo inspirée d'un tableau. Ou alors elle vous a laissé de glace ...Ce qui est amusant, c'est que vous sembliez très occupé ce jour-là par un certain Paul.Mon commentaire, venu beaucoup plus tard, vous aura échappé. Parfois la chaleur de l'été effondre les neurones, en effet...
Enfin, bref, je ne vous en dis pas plus.
Merci pour votre dernière phrase. Elle me ravit.
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿

Patrick Mandon a dit…

Je plaide non-coupable ou coupable par omission. Je viens de rendre visite à votre blogue, à la date que vous m'indiquez. Quelle jolie nuque !
Pour me faire pardonner, je vous offre ceci, qui n'est pas un chef-d'œuvre j'en conviens, mais qui résonne comme un écho à votre adorable nuque.

Que l'on soit un manant, un notaire, un grand-duc,
Que l'on soit Don-Juan ou bien même un eunuque,
Plutôt marquis de Sade ou préférant Saint Luc,
Le vertige nous vient contemplant cette nuque.

On se prend à rêver : après cela quel truc,
Quelle intime part d'elle, de chair et non de stuc,
Viendra solliciter notre désir caduc ?

Pierre a dit…

Avec pas mal de retard ou énorménent d'avance, je vous souhaite aussi une bonne et heureuse année Patrick.