jeudi 30 janvier 2025
Like a Rolling Joss Stone
Les nouvelles chanteuses françaises, saintes meetouches prétentieuses, avec un quant-à-soi de marquise par procuration, si peu artistes, toujours puisant dans un pot de moraline des certitudes et des condamnations, forment un cortège d'ennui et de névroses à la mode pour radios et télévisions d'État.
Mais alors surgit Joss Stone et ses musiciens, et l'ouragan emporte au loin les figures de ce triste carnaval officiel.
Écoutez donc Midnight train to Georgia ou encore sa reprise, plus qu'honorable, de A little prayer for you (après l'immense Aretha Franklin, il fallait oser !)
Note : Ellle a donné une autre version de I put a spell on you, accompagnée à la guitare par Jeff Beck
Re-note : J'apprends que Marianne Faithfull est morte. Ce n'est pas Mme de Sagazan, ni Pomme, ni Juliette Armanet qui me consoleront de cette disparition.
mercredi 15 janvier 2025
Mes (Dés)(A)Vœux : Je suis Charlot : 1) Le Futur extérieur
Le futur extérieur…
Au vrai, j'avais imaginé une scène avec des photographies –dont deux ou trois « modifiées » par mes soins–, tirées d'un film de et avec Charles Chaplin, mais je ne parviens plus à insérer des images, pour une raison que je ne m'explique pas.
Quoi qu'il en soit, j'adresse mes vœux affligés mais sincères à tous ceux qui rendent encore visite à ce modeste lieu.
Je leur souhaite de trouver en eux-mêmes les ressources, qui leurs permettront de survivre sinon d'expérer. Je leur suggère d'adopter, pendant quelque temps, au commencement d'une année déjà usée avant d'avoir servi, cet aphorisme de Friedrich Nietsche (Nichts = rien), qui me paraît parfaitement annoncer l'avenir : « Rien ne vaut rien, il ne se passe rien, et cependant tout arrive mais cela est indifférent. ».
En supplément : des accès de mélancolie, la chair aimable d'un amant momentanément apaisé, des mains glissant le long de jambes gainées de bas nylon, l'oubli de Sandrine Rousseau et de toutes les femmes écologistes, la crainte de M. Mélenchon, ce blafard Lénine d'arrondissement, la tendresse nerveuse d'une chatte noire aux yeux de braise, une nappe de souvenirs comme un brouillard qui enveloppe, s'éloigne et revient, des particules fines de bonheur, et l'adorable chagrin d'être né…
Au vrai, j'avais imaginé une scène avec des photographies –dont deux ou trois « modifiées » par mes soins–, tirées d'un film de et avec Charles Chaplin, mais je ne parviens plus à insérer des images, pour une raison que je ne m'explique pas.
Quoi qu'il en soit, j'adresse mes vœux affligés mais sincères à tous ceux qui rendent encore visite à ce modeste lieu.
Je leur souhaite de trouver en eux-mêmes les ressources, qui leurs permettront de survivre sinon d'expérer. Je leur suggère d'adopter, pendant quelque temps, au commencement d'une année déjà usée avant d'avoir servi, cet aphorisme de Friedrich Nietsche (Nichts = rien), qui me paraît parfaitement annoncer l'avenir : « Rien ne vaut rien, il ne se passe rien, et cependant tout arrive mais cela est indifférent. ».
En supplément : des accès de mélancolie, la chair aimable d'un amant momentanément apaisé, des mains glissant le long de jambes gainées de bas nylon, l'oubli de Sandrine Rousseau et de toutes les femmes écologistes, la crainte de M. Mélenchon, ce blafard Lénine d'arrondissement, la tendresse nerveuse d'une chatte noire aux yeux de braise, une nappe de souvenirs comme un brouillard qui enveloppe, s'éloigne et revient, des particules fines de bonheur, et l'adorable chagrin d'être né…
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