Il est vrai qu'elles sont belles, nos passantes, JM, et brillantes, et sensibles ! Quelle chance nous avons ! Mais, Tous les garçons doit prendre soin de ne pas les décevoir, car une passante déçue ne revient pas sur le lieu de sa déception ! Quant à la Girardot, nous saluons ici sa passion d'être, son impétuosité, son “caractère”, sa vertigineuse mélancolie.
Vos passantes reviennent toujours Patrick. De Rocco à madame Marguerite, elle nous a touchés, toujours juste jamais mièvre (Son César et cet aveu bouleversant sur le cinéma. J'en frémis encore). La revedere Annie.
6 commentaires:
On aimait son regard expressif, sa vivacité,son tempérament, son sourire, sa voix un peu cassée, sa grâce..
Enfin, moi je l'aimais...
Adieu Annie...
C'est tout Annie dans cet extrait Patrick.. Passionnée, tendre, impulsive, entière.. Enfin tout comme je l'imaginais. Merci.
Emouvant hommage, cher Patrick, tout en retenue.
...et du coup, je manque à tous mes devoirs. Bonjour aux belles passantes !
Il est vrai qu'elles sont belles, nos passantes, JM, et brillantes, et sensibles ! Quelle chance nous avons ! Mais, Tous les garçons doit prendre soin de ne pas les décevoir, car une passante déçue ne revient pas sur le lieu de sa déception !
Quant à la Girardot, nous saluons ici sa passion d'être, son impétuosité, son “caractère”, sa vertigineuse mélancolie.
Vos passantes reviennent toujours Patrick.
De Rocco à madame Marguerite, elle nous a touchés, toujours juste jamais mièvre (Son César et cet aveu bouleversant sur le cinéma. J'en frémis encore). La revedere Annie.
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