Une chanson écrite par Carla Bruni, composée, je crois, par Julien Clerc.
Pourquoi cette chanson ?
Parce que nos vies sont peuplées d'ombres, et que l'écho de leurs voix ne nous atteint plus, un jour ou l'autre.
Parce que notre fantaisie amoureuse est un château de sable, qui s'effondre et veut être reconstruit.
Parce que les mots entretiennent en nous un chagrin adorable.
Parce que notre chagrin est inconsolable.
Par Carla Bruni, seule :
Carla Bruni avec Julien Clerc :
Par Isabelle Boulay :
5 commentaires:
Vos goûts sont décidément remarquables ! Merci de nous les faire partager.
Un très bel hymne à la passion, et au goût de sa brûlure, cher Patrick.
J'aime beaucoup la version de Carla B.
Bien à vous
¸¸.•*¨*• ☆
Célestine est de sortie, alors, elle nous rend visite ! Vous avez sans doute l'un des plus beaux yeux de la bloguitude. Si l'autre produit le même effet, vous semez certainement l'espoir autant que le désespoir parmi ceux qui vous croisent. Oui, chers amis (Nuage et Céleste), cette chanson très tendre est une petite merveille, par surcroît servie par la voix envoûtante de la gracieuse Carla, l'italienne. D'ailleurs, le léger voile de rouille signale bien son origine : les voix italiennes ont cela en commun, souvent. Il y a dans l'inspiration de Carla Bruni une dualité intéressante : le goût de la vie jusqu'à la gourmandise, et une belle mélancolie, présente chez ceux qui savent dire adieux aux choses, aux êtres, aux si douces apparences…
Et ce quai qui s'éloigne...
Or Pâle, il est recommandé par la SNCF, grande pourvoyeuse de quais, de s'éloigner de leur bordure. Votre blogue est encore plus à l'abandon que le mien : lassitude, désarroi, abus de lexomimile ? Je suppose que vous ne répondrez qu'en présence de votre avocat.
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