D'où viens-je ?
Où vais-je ?
Qui suis-je ?
Photo 3 : Extrait de Hamlet, la scène du crâne de Yorik (To be or not…), jouée par sir Lawrence Olivier dans son propre film (1948).
Photomontages P. M.
Note : Je ne prétends pas à l'exactitude scientifique de mes réponses, mais elles peuvent au moins rivaliser avec les affirmations que nous assènent depuis deux mois nombre de Diafoirus contemporains, lesquels, attirés par le bruit que font les trompettes de la renommée, passent bien plus de temps devant les caméras que dans leurs laboratoires…
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8 commentaires:
Au moins vos réponses ont-elles l'avantage d'être drôles, nous tenant éloignés de celles, contradictoires, de tous ces experts, scientologues, politologues, économicologues (mais bien peu mycologues) dont le monologue ininterrompu et anxiogène commence à me les briser menu. "Fuck'em all", comme on le dit poliment ailleurs !
« Me les briser menu » : ah, la délicieuse expression ! Si je ne m'abuse, elle nous évoque « l'homme de la pampa », auquel des mœurs un peu rudes n'interdisent point de rester courtois, jusqu'à une certaine limite…
Oui, c'est bien cela : ils nous « les brisent menu ».
Mais je suis plus réservé sur la pertinence de votre « Fuck'em all » (le regretté bien que quelque peu irascible Tupac Shakur en avait fait une chanson). Là encore, la rudesse toute virile de cette invitation ne me déplaît nullement, c'est son exécution qui me semble impossible. En effet, « Fuck'em all » exige le rapprochement de deux intimités (au moins, voire plus si affinités), qu'interdit l'actuel confinement. Bien à vous.
En effet, j'ai quelque peu "péché" par excès (chez moi on disait, pour d'autres appétits certes, "avoir plus grand œil que grand ventre") avec ce "fuck'em all" mais le "fuck" tout seul... c'est un peu "goder" dans le vide ! "Le monde est mal fait" disait-on aussi par chez moi, le vocabulaire étranger l'est aussi un peu, surtout lorsque l'on est plutôt incertain sur ses intentions.
Les américains usent abondamment du verbe fuck, sous toutes les formes. Ils voient du fuking partout. En France, nous avons, nous aussi, une injure assez… radicale, qu'on entend aussi bien dans les stades de football que dans les rues. Elles nous inviterait à nous donner de la joie par un orifice exploré à cet effet depuis au moins la Grèce antique, si elle n'était pas prononcée avec une rage, qui ne signale pas de bonnes intentions…
Covid or not covid?
Covidadollars
Pierre, l'un des plus anciens amis de ce blog. Il a fait disparaître sa photographie, c'est regrettable, mesdames, car Pierre est un beau gosse. Sinon, bien sûr, « Covid or not covid » accompagne naturellement mon Hamlet. Quant à « Covidadollars », cela signale parfaitement la manne financière qui accompagnera les traitements et, surtout, un éventuel vaccin.
Le mot "ami" me flatte. Le mot ancien " me chagrine! L'avaleur (de sabre) n'attendant pas le nombre des années, je suis en effet, un ancien. Bientôt une antiquité. Ensuite une relique et puis bon suaire tout le monde! Concernant la photo, le mâle est réparé. Bien à vous.
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