Gabriel Fauré (1845-1924) joua de l'orgue aux obsèques de Paul Verlaine. Sa musique est honnie des serviteurs de la tyrannie sérielle, sérieuse comme l'ennui. Voici son Élégie opus 24. Schubert, dirait-on, l'a inspiré dans le moment qu'il écrivait ce délicat mouvement musical. Nous aimons Gabriel Fauré, il nous le rend bien. David Louwerse, violoncelliste François Daudet, pianiste
L'art en général n'aime pas trop la tyrannie... Il s'en accommode mais il attend son heure et gagne toujours à la fin. Comme la douceur des choses. Méthode coué très personnelle !
Chère Nadia, ne faut-il pas, de temps en temps, « prendre garde à la douceur des choses » ? Il convient, sans doute, de goûter à cette douceur tout en demeurant vigilant. Mais vous êtes très vigilante… Je crois que, bientôt, une indélicate et glaireuse personne, regrettera la douceur des choses…
5 commentaires:
Schubert donc, l'attaque au clavier m'y fait penser, pas vous ? Heureusement qu'il y a des films pour retrouver les morceaux.
Cher Lettres, nous aimons tant Schubert, que nous nous réjouissons qu'il y en ait deux !
L'art en général n'aime pas trop la tyrannie... Il s'en accommode mais il attend son heure et gagne toujours à la fin. Comme la douceur des choses. Méthode coué très personnelle !
Chère Nadia, ne faut-il pas, de temps en temps, « prendre garde à la douceur des choses » ? Il convient, sans doute, de goûter à cette douceur tout en demeurant vigilant. Mais vous êtes très vigilante…
Je crois que, bientôt, une indélicate et glaireuse personne, regrettera la douceur des choses…
C'est tout ce que je lui souhaite mon cher ami. Vous avez raison, la douceur des choses peut être une terrible arme à double tranchant...
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