vendredi 18 mars 2011

Dancing berlinois au Grand Rex (2)





Les grands ancêtres :
Hommage à cette troupe d'amis talentueux, qui porta partout en Europe la joie de vivre et la fantaisie allemande, avant la catastrophe nazie : Die Comedian Harmonists.



Salut d'honneur à la grande Marlène, qui refusa le déshonneur :

23 commentaires:

j.d.l.l a dit…

Merci et bravo Patrick pour ce classicisme moment !

j.d.l.l a dit…

Vrais de vrais tu à assisté au concert, quel chance tu à, ah, la capitale! si j'étaie la-haut, comme une certaine époque ou je flirter dans les cabaret jazz de la rue de rivoli, les petits théâtres de paris et les guinguettes du bord de marne, ail, ail, que du bonheur, que de bon souvenir et de belle sortie! Mais bon, on ne peut pas être tout le temps en fête, quoi que l'idée ne me déplais pas du tout! amitié patrick!

Emilie a dit…

Merci Patrick pour ces beaux articles sur la passion du XVIIe siècle français et sur la "joie de vivre et la fantaisie allemande"...

Et...les deux se conjuguent parfois à merveille et produisent un mélange explosif, délicieux, jubilatoire !!!Surtout lorsqu'on est sensible comme moi à la douceur souvent méconnue de la langue allemande !

J'aime beaucoup votre dernier auto-portrait, vous y êtes magnifique, mon cousin préféré !

Anonyme a dit…

N'hésitez pas si le coeur vous en dit à nous mettre quelques extraits de Cabaret, avec l'inoubliable Joel Grey. Quand le dancing berlinois se fait grinçant mais toujours ébouriffant...

Patrick Mandon a dit…

Ah, chère cousine, la langue allemande ! Comme elle est douce à qui sait l'entendre, comme elle dit bien les choses de l'esprit et du cœur ! Je vois que cette langue vous plaît infiniment ; c'est qu'elle est plus caressante qu'on ne le dit, et plus ardente aussi. Elle dit si bien l'européenne mélancolie, comme le tango le fait pour le chagrin de l'Amérique du sud…
Mais, où étiez-vous passée, ma cousine ? Quelque voyage "outre-rein” vous aurait-il éloigné de nos paysages ?
Nadia, hélas : j'aurais aimé placer ici l'extrait de Cabaret, de Bob Fosse, que vous évoquez (Willkommen, chanté par Joël Gray) : hélas, l'« intégration est désactivée » ! Voici le lien :http://www.youtube.com/watch?v=_D7AebhY4qg

Emilie a dit…

Mon cher cousin,

Comme vous supposez bien !

Oui, je suis partie en voyage pour découvrir des paysages qui jusque là m'étaient inconnus et qui m'ont ravie l'âme et le coeur !

Ah, la vallée du Rhin romantique et le rocher de la Lorelei ! Là,je fus véritablement émerveillée, et en proie à l'illusion de l'enchantement, je crus entendre son chant magique, ensorcelant, au plus profond du fleuve, puis,comme un lointain écho, résonner longuement ces vers d'Apollinaire: "Ô belle Loreley aux yeux pleins de pierreries
De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie"...!

Croyez bien que dès mon retour, je ne manquerai pas de vous rendre visite pour vous raconter par le menu ce voyage merveilleux et vous montrer quelques photos !

Vous évoquez aussi, mon cher cousin, les caresses ardentes de la langue allemande...Ces quelques semaines de totale "immersion" dans la langue de Goethe m'en ont convaincue: les accents de rudesse que l'on y croit entendre sont en réalité ceux de la ferveur..pénétrante et de la passion...romantique dévorante !

Je m'amuse énormément et j'espère que de votre côté, pendant mon absence, vous ne commettez nulle folie et veillez à ce que tout se passe bien au château.

Cher Patrick, votre cousine vous salue et vous embrasse très affectueusement.

Anonyme a dit…

Danke schön !
Vous connaissez mes réticences et mes réserves sur la langue allemande. Plus sur l'usage que des affreux en ont fait et des ordres éructés que sur la langue elle-même. A l'évidence, elle peut aussi se faire caresse.
Il m'aurait peut être fallu un amoureux allemand.... Mais ça c'était au dessus de mes forces !
Bonjour en passant à la Lorelei brune, la fervente Emilie !

Anonyme a dit…

Dans un genre moins caressant mais délicieusement désuet, vous avez ceci
http://www.youtube.com/watch?v=u8h8ca5zn5Y
Encore que le côté galéjade martiale me donne un peu la chair de poule...

Emilie a dit…

Bonjour Nadia, je vous embrasse. Toujours ravie de vous lire ! A propos de la langue allemande et de l'usage qui en a été fait, je vous suis et vous comprends parfaitement....Et vous avez raison d'ajouter qu'il vous aurait fallu peut-être un amoureux allemand....puisqu'en effet c'est cela qui, très subjectivement,forcément, change tout...Un "Ich hab dich Lieb..." tendrement chuchoté à l'oreille...et l'on sort de la dimension de l'Histoire (avec une grande Hache!) pour entrer dans une autre, celle d'une simple et belle histoire...d'amour. Voilà, vous savez tout, je pense !

JMT a dit…

Je me réjouis, cher Patrick, de trouver de retour ici vos si belles et douces ferventes et les salue très chaleureusement.


Je dirai juste ceci : Un lecteur parmi les plus attentifs et profonds de l'oeuvre de Celan, George Steiner, a écrit que peut-être la seule langue par laquelle on puisse vraiment pénétrer l'énigme d'Auschwitz c'est l'allemand, c'est-à-dire en écrivant « du dedans de la langue-de-mort elle-même ». Cette remarque définit assez précisément la démarche de Celan. Le but de Celan n'a jamais été celui de « comprendre » au sens philosophique ou historique du terme -- le verbe "verstehen" n'appartient pratiquement pas à son vocabulaire -- mais plutôt celui de saisir, de restituer par les mots le sens d'une déchirure de l'histoire à partir de la souffrance qui a marqué ses victimes. Or, tout en puisant à la richesse de son bagage culturel de Juif de Bucovine, à la croisée de plusieurs langues et cultures, il a choisi de faire de l'allemand sa langue d'expression poétique, parfaitement conscient de toutes les conséquences qu'une telle posture impliquait tant sur le plan de l'élaboration que sur le plan de la réception de son oeuvre.

Nadia effleure le sujet, tergiverse, tente faire bonne figure. C'est courageux.


Comme on dit chez nous, pour simplifier ou couper court : "C'est compliqué."

Amitiés à toutes et tous

Patrick Mandon a dit…

Chers amis,
Ce blogue a quelques lecteurs en Allemagne, et, en France, des amis de langue et de culture allemandes. Je n'ai jamais dissimulé mon goût pour cette langue, que je parlais couramment, mais que, faute de pratique, j'ai en grande partie oubliée, tout au moins à l'oral.
Il se trouve que la tragédie de l'Histoire, en Europe, a parlé allemand. Longtemps, ses accents prétendument gutturaux n'ont pas seulement incommodé nos compatriotes juifs : j'ai le souvenir précis de paysans corréziens (chez qui nombre de familles juives avaient trouvé refuge), qui, jusqu'à la fin des années soixante, s'emportaient à la seule idée du rapprochement politique franco-allemand. Ils se souvenaient précisément des exactions commises par des SS : les jeunes gens raflés et assassinés à la sortie des villages, les balcons de Tulle, le massacre d'Oradour-sur-Glane, dans la Haute-Vienne voisine (400 femmes et enfants massacrés dans l'église, les hommes tués dans deux ou trois granges).
Je ne sais quelle sera la langue des prochains bourreaux, mais je suis sûr que ce ne sera pas l'allemand. Ce qu'ont fait ou admis les pères ne saurait être reproché aux enfants, même si ces derniers s'expriment dans la même langue.
Mais je n'ignore pas quelle blessure inguérissable, quel effroi ont imprégné la mémoire de quelques-uns de nos amis : des sentiments que Nadia a déjà, discrètement, évoqués dans les articles qu'elle nous a donnés, que jean-Michel Théaux, dans son blogue indispensable, développe avec délicatesse.
Émilie a rappelé le drame, trop longtemps nié, des « Pieds-noirs», les crimes commis contre nos frères arabes d'Algérie, que nous avons lâchement abandonnés à leurs bourreaux fous.
Je me souviens de cette femme, employée de ménage, dans une entreprise où je travaillais, il y a longtemps : elle pleurait, seule, dans une sorte de grand placard, où je la découvris. Je la connaissais un peu ; elle me confia que son fils venait de partir en Turquie. Or, elle était arménienne, d'origine turque. Sa propre famille avait fui le premier génocide du XXe siècle. Le séjour de son fils dura une semaine : elle ne fut rassurée que lorsqu'il revint à Paris !
Les faits évoqués ci-dessus ne sont pas comparables , mais le chagrin, la peur, les souvenirs effrayés qu'ils ont suscités chez les survivants, les témoins, les héritiers sont absolument semblables.
À présent, mes frères, chantons ensemble le psaume dit de Barbara : « Göttingen » :
« Na ja, dort gibt es keine Seine
Und auch nicht den Wald von Vincennes.
Doch schöne Orte, die ich kenne
In Göttingen, in Göttingen.
Es gibt keine Kais oder Lieder,
Die klagen und kehren immer wieder.
Und dennoch blüht auch dort die Liebe
In Göttingen, in Göttingen. »

Emilie a dit…

Cher Patrick, pourquoi ne pas nous faire entendre Barbara qui la chante à la fois en allemand et en français ???

http://www.youtube.com/watch?v=nkzrLF6s1eA

Anonyme a dit…

Je crois aussi, cher Patrick, que nous n'avons plus de souci à nous faire du côté du Rhin. Les Allemands sont aujourd'hui nos meilleurs partenaires européens, dans tous les domaines, dont le mien, nous avons construit une amitié apaisée et solide. Je me souviens avec un peu d'embarras de mes frayeurs qui me semblent aujourd'hui passablement ridicules. Quand j'étais en poste à Prague dans les années 2000-2004 je rentrais assez régulièrement à Paris en voiture, 800 kilomètres en autoroute faciles à effectuer dans la journée via, entre autres, la Bavière... A Plzen, je commençais à avoir mal au coeur, je traversais l'Allemagne en apnée avec un pic hagard vers Nuremberg, les mains moites et des panzers à mes trousses. Je prenais de l'essence avant la frontière pour ne pas avoir à poser un pied sur le sol honni. Et cette langue à la radio...Je recommençais à vivre après Aix la Chapelle. Aujourd'hui, les Allemands sont mes amis, je ne me pose plus cette question qui me venait autrefois automatiquement à l'esprit "Il faisait quoi ton grand-père en 33, en 43 ? Il aurait aligné ma famille devant une fosse ?"
Vous avez raison, cher Jean-Michel qui trace son sillon poétique chez des gens que j'aime, c'est compliqué. Je ne lis ni Celan ni Kafka en VO, mais en roumain et en tchèque et cela me convient ainsi... Je mets une barrière latine et slave entre la mort et moi. Te pupam.

Patrick Mandon a dit…

Fort belle description, par Nadia, de ses traversées de l'Allemagne, hantée qu'elle était alors par des récits d'effroi.
Les temps ont changé, belle brune piquante : vous pouvez tomber en panne d'essence sur tout le territoire de la Germanie.
Les enfants ne sont pas comptables des méfaits de leurs parents.
Quant à moi, je souhaite la victoire de l'Allemagne… sur son passé.

Anonyme a dit…

Elle est acquise je crois, cher Patrick.
Pendant de mes souvenirs tragi-comiques, les Allemands que je rencontrais il y a quelques années marquaient toujours un imperceptible recul à l'énoncé de mon nom. C'est qu'il a l'air... de ce qu'il est. Et un petite gêne flottait pendant quelques minutes. Nous évitions certains sujets. Sur d'autres ils se sentaient obligés de se justifier, d'en rajouter.
Tout cela est bel est bien terminé et c'est parfait ainsi.
Je n'en dirais certes pas autant de certains pays plus à l'Est où j'ai posé mes valises et parfois mes meubles. Les autochtônes n'y ont pas les délicatesses et les pudeurs des Allemands, on vous y parle encore des "Juifs" avec des regards coulissants et de surprenants accents au regard de l'histoire.

j.d.l.l a dit…

D'accord avec Patrick pour le dernier commentaire, »Les enfants ne sont pas comptables des méfaits de leurs parents , Quant à moi, je souhaite la victoire de l'Allemagne… sur son passé ».
Nadia, faut quand même se méfié, le taux de racisme et assez effrayant en Allemagne, ainsi qu'en France, beaucoup n'ont rien appris ou retenu de cette époque effroyable, et c'est là le plus inquiétant, des décérébrés il y en à encore, je peut confirmé cette apologie de la bêtise dans les villes et villages traversés en Europe ainsi qu'en France, je sait pas d'où leur vient toute cette haine, cette bêtise, quelques fois j'entends des mots et des phrases assez terribles et ils en rigole de surplus, et je l'entend encore aujourd'hui, ici dans le sud, chez les commerçants et autre défouloir à haine, mais que faire, leur dire des vérités en face, ce que je fait souvent, mais il n'ont pas trop la conscience de capter et souvent me prennent pour un particulier, un bizarre,c'est assez effrayant que des individus joue encore avec le sordide, avec l'inimaginable,

Et j'ai jamais compris pourquoi les pauvres sont souvent les plus virulent à se sujet, maintenant je ne fréquente pas la secte des richesses, mais je me doute que chez eux aussi il doit y avoir un paquet de décérébrés

je crois surtout qu'ils sont morts intérieurement et que rien n'y fait, malheureusement

Patrick Mandon a dit…

Salut à Jean, l'homme lunaire, que j'imagine dans son jardin, à l'ombre d'un gros arbre, dans le midi de la France…

JMT a dit…

Ne sais pas quoi répondre à Jean. Ou ne le sais que trop mais ne sais ni ne peux ni ne veux l’exprimer. Et puis, ce serait si long, si touffu, si casse-pieds. Alors, je me répète. J’abrège : c’est compliqué, ami Jean, c’est surtout beaucoup plus compliqué que ça, beaucoup plus compliqué que vous ne pourrez l’imaginer. C’est l’indicible qui coule dans nos veines, ami Jean, l’indicible.

j.d.l.l a dit…

Exacte Patrick, le soleil est là, la mer est d'huile et je suis dans le jardin au soleil à taillé quelques branche du figuier et de la vigne, le beau-temps ouf, et bientôt quelques plonger au phare et lézardé au soleil tranquille avec le bruit des vagues, le calme et la paix, amitié à toi Patrick

JMT oui je comprend, mais que faire, moi je sait plus, je crois le mieux, le calme et se retirer dans un endroit où il n'y a pas de laideur, se que je fait le plus souvent en haute Ardèche, loin de la folie des hommes et d'humain cupide, jaloux et ne ne sait quoi encore! j'suis un peut fatiguer de tout cela, les pauvre qui stank les pauvres et les riche qui ne sont pas plus intelligent, mais, il reste quand même des personnes bien, je crois, sinon, ail ail ail, pour nos arrière, et pourtant je ne suis pas du tout pessimiste, bien au contraire, je crois, je prend trop à cœur les coup de la vie et les bassesses, que se soit au théâtre qui ne manque pas de fanfaron et de monte dessus pour tirer la couverture à eux, mais, bon , je crois que je ne m'accommoderai jamais de cela, et je leur dis bien en face à ses ba,,,,,,,,,,,,que cela face plaisir ou non! Il paraît que cela ne se dis pas en face des vérité, Un bâtard c'est un bâtard, non ?( rire), amitié JMT

excuse pour les vilain mots Patrick, promis je fait plus!

j.d.l.l a dit…

Oui, ta raison Patrick, quand je voit mon blog, je doit vraiment marcher sur la lune, quelques fois je me dis, boudiou! les salades que j'écris, il doit y avoir surement que moi qui comprenne, mais bon, déjà, je me comprend à moi, heureusement (rire)

JMT a dit…

Cher Jean, tu crois que je ne te comprends pas ! Bien au contraire ! Je vais te lire chaque matin. J'aime ton emportement, ta vérité écorchée; tu sais, Jean, ton écriture est vivante, vi-van-te, elle porte la vie.


Cher Patrick, je pense à votre ravissante cousine, ravie le long du Rhin (je ne suis pas certain de l'orthographe de Rhin...)



Un poème pour Emilie…


Wenn ich in deine Augen seh',
So schwindet all' mein Leid und Weh ;
Doch wenn ich küße deinen Mund,
So werd' ich ganz und gar gesund.

Wenn ich mich lehn' an deine Brust,
Kommt's über mich wie Himmelslust ;
Doch wenn du sprichst : ich liebe dich!
So muß ich weinen bitterlich.


Ca, c’est du Heine. Typique et persifleur.
On croit à un poème d’amour heureux. Que nenni.
Le sens en est l’éternel mensonge en amour qui apparaît. Ses larmes ne viennent-elles pas de ce ich liebe dich qui sonneront faux pour toute éternité ?


Heine qui finit par se haïr d’être juif et aussi d’être allemand. « Tout ce qui est allemand me répugne (…) agit sur moi comme un vomitif. La langue allemande me déchire les oreilles. Parfois mes propres poèmes me dégoûtent quand je prends conscience qu’ils sont écrits en allemand. »

Hitler lui-même interdira personnellement son œuvre et tous les livres de Heine furent jetés dans les brasiers allumés le 10 mai 1933.

Pauvre Lorelei…


Ich weiss nicht, was soll es bedeuten,
Dass ich so traurig bin ?

Patrick Mandon a dit…

Cher Jean, la réponse que te fais Jean-Michel me paraît d'une force d'amitié, qui devrait, j'en suis sûr, te toucher. Jean-Michel a trouvé les mots : il te dit que tu nous es précieux. Il dit également le trouble "verbal”, qui peut gagner ceux qui connurent des temps d'effroi. J'ajoute simplement que ton expression "sauvage” me réjouit très souvent, qu'elle me force à réfléchir, et, pour tout dire, qu'elle m'“emballe”. Et puis, tes filles sexy et puissamment armées me plaisent beaucoup.
Jean-Michel, la dernière fois que j'ai visité Heine, au cimetière de Montmartre, sa tombe était fleurie de frais. À mon avis, elle reçoit l'hommage de nombreux visiteurs ; il ne m'étonnerait nullement que de jolies femmes vinssent s'asseoir sur le marbre froid de sa tombe…
J'irai, quelque jour, photographier l'endroit : songez qu'ici reposent (en paix ?) des personnes aussi fréquentables que Sacha Guitry, Paul Poiret, Stendhal, Alexandre Dumas fils, Fragonard, Jean-Claude Brialy et tant d'autres !

Anonyme a dit…

Cher Jean, la bêtise et le racisme à la petite semaine tu ne leur tordras jamais le cou, pas besoin d'aller chercher très loin, regarde le score de MLP. On se lâche un peu, un tout petit peu, on banalise sans s'en rendre compte... 15% !
L'essentiel est que
" Jamais ne revienne,
Le temps du sang et de la haine"
comme disait Barbara à Göttigen...