mercredi 11 mai 2011

Le retour du même

Cannes : ouverture ce soir. Ce sera l’ennui habituel, le défilé des prétentieux, la cérémonie des faux rebelles, la bunkerisation de la culture cinématographique. Tout cela augmenté de l’insupportable humour « décalé » de Canal +.
Je me souviens…

Amarcord - Bande annonce Vost FR par _Caprice_

2 commentaires:

Patrick Mandon a dit…

En réponse (bis) à Thé (voir son dernier message, dans le fil précédent) :
Thé, quelques observations, relatives à votre dernier suintement :
On n’est pas « astreint à une audience ». il peut arriver qu’une certaine audience soit une contrainte, mais une astreinte, jamais, surtout dans le sens où vous paraissez l’employer. Quant à savoir si je ferais « tout pour avoir plus d’audience », je réponds ceci : « Ceux qui m’aiment prendront la limousine, les autres rentreront avec le corbillard ! »
Vous écrivez la forme orthographique fautive « occurences », pour « occurrences ». En outre, ce terme, que vous empruntez à la linguistique, ne signifie rien dans ce contexte.
Je vois, en outre, « à l'envie », alors que j’attendais « à l’envi ».
Vous écrivez : « Saussure […] n’a rien d’un grammairien ». Ce qui me conduit à vous répondre ceci : je n’ai établi aucune relation entre Saussure et la grammaire, j’ai évoqué un personnage imaginaire, qui vous ressemble, et son style de « télégraphiste, qui aurait lu rapidement Saussure. ». Je voulais ainsi moquer votre forme prétentieuse (que vous avez heureusement abandonnée, grâce à mes remontrances), qui vous faisait supprimer les pronoms, et autres syntagmes si utiles dans la correspondance écrite. Je me souviens que vous aviez tenté de justifier votre petite préciosité par votre prétendue connaissance de la linguistique. Je vous avais trouvée amusante…
Vous écrivez encore : « certains prémisses ». Faute ! Si vous songiez au commencement des débats amoureux ou au début d’une révolution, il fallait écrire : « certaines prémices » (féminin, toujours au pluriel). Si vous évoquiez un énoncé (par exemple, l’une de vos trop nombreuses interventions chez Tous les garçons), ou encore cette figure de la logique qu’on nomme le syllogisme, vous deviez alors orthographier ainsi : « certaines prémisses », car, si son usage n’exige pas le pluriel, le mot « prémisse », dans ce dernier sens, veut, lui aussi, le féminin !
Vous m’avouez : « cela me gêne profondément de dialoguer avec quelqu'un qui entretient des confusions ». Eh bien, vous reconnaîtrez peut-être que j’aurai au moins dissipé vos confusions !
En revanche, je reconnais avoir manqué à votre égard de charité chrétienne…

Vincent Deyveaux a dit…
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