mardi 10 mai 2011

Leur portrait

Bagarre au saloon
Birahima, Thé, et la petite suite suintante qui fait la queue devant les toilettes d'une certaine « ovairesbloquée », sont venus visiter ces lieux nuitamment. J'ai fait de cette camarilla d'inachevés une photographie collective.
La voici :
























Jean Carriès 1855-1894, Masque d’horreur, grès émaillé.
Petit palais, don de Georges Hoentschel, 1904.
(Photographie PM : prise « clandestinement », elle n’est guère satisfaisante, je vous l’accorde, mais enfin, elle montre ! )

45 commentaires:

Tanya a dit…

I have no doubt, Dear Patrick, that
Birahimas will bounce back to the bone yard (where they belong) one day and we can breath again!
Courage!!!!

Patrick Mandon a dit…

You're perfectly right, daaaaarlin'T. With love from Paris.

Tanya a dit…

And one more thing - I have never seen
this particular Masque d’horreur !!
It is Harrowing and absolutely Spectacular!! thanx for this fabulous pic, for me it's quite a discovery.
Lots of love
Tanya

Eureka a dit…

Ces pollutions nocturnes nuisent à la qualité de ce blog. En revanche, la photo me plaît beaucoup.

De tout coeur avec vous

Amitiés Anne

Anonyme a dit…

Mon cher Patrick, il y a longtemps que la pauvre Birahima pointe à l'hôpital psychiatrique, mais elle n'est pas bien méchante. Pénible, avec des emprunts lourdingues au comique troupier, j'en conviens, mais ces messages innombrables ont finalement quelque chose de pathétique.
Bien différente est votre gorgone, sans oublier les tristes causeuses qui s'expriment à travers elle... Mais que voulez-vous, il faut bien que le talent se paye un peu. Tout pour certains et rien pour d'autres, cela finit par agacer.
Dust in the wind...

continuez a dit…

vous avez trop tendance à oublier que vous n'êtes pas une femme, mon cher patraque

allez, un petit effort, y'a un os à ronger là.

Corinne a dit…

Jean Carriès avait son atelier à St Amand en Puisaye.. Je ne sais pas s'il en reste quelque chose, j'y passerai voir à l'occasion. J'aime ses gargouilles ! C'est un peu trop d'honneur toutefois que vous faites à vos harpies, cher Patrick.
Je vous embrasse !

Patrick Mandon a dit…

Chères amies, vos messages sont délicieux d'ironie. Corinne, voudriez-vous, en effet, nous en dire plus au sujet de Jean Carriès, dont j'ai redécouvert récemment le travail. J'aime son inspiration médiévale, sa représentation de l'horreur. J'ai d'autres photographies, que je vous présenterai bientôt.
Puis-je vous embrasser chacune séparément ?

Victor Hugo a dit…

ah parce qu'en plus, vous avez des déformations physiques.

Patrick Mandon a dit…

La seule « déformation » physique qui se puisse voir chez moi, est celle qui apparaît lorsque je me trouve avec une jolie femme. Comme vous n'appartenez pas, à ce qu'on m'en a dit, à la catégorie des jolies femmes, vous n'avez aucune chance, seriez-vous mise durablement en ma présence, d'observer cette « déformation », laquelle tient du phénomène…

Bianca a dit…

vous êtes marrant.
les femmes, vous ne devez pas en voir souvent
à part celle baptisée par la fée carabosse.

j.d.l.l a dit…

Bonjour Patrick,

Un/Une cinglé à bloc Patrick, quel colle le zèbre, doit-être pas trop tranquille du teston, bon je devrait pas rire, mais, je vient de m'apercevoir qu'il où elle à laisser plus de 80 messages si-dessous, Quel être normalement constituer peut prendre plaisir à faire cela ? Un truc de fou!

Sinon, je vient de voir ton message, malheureusement je n'ai pu aller à paris comme prévu, problème de famille ( mon père hospitalisé) mais, nos soucie pour une prochaine fois, ont fera cela avec un bon-resto, nos problème Patrick et amitié

Fiona a dit…

non, à part les diplotocus,
vous ne devez pas en voir beaucoup.

Patrick Mandon a dit…

Cher Jean, es-tu inquiet pour ton père ?

Corinne a dit…

Pauvre Jean Carriès ! En voulant satisfaire les caprices d'une princesse, il laissa la vie aux portes de l'enfer. Pour vous, cher Patrick, si possible, j'irai enquêter sur place..

j.d.l.l a dit…

non Patrick il est casse-c,,,,, le zèbre, (rire) à 84 ans il na jamais était hospitalisé de tout sa vie, dur-dur, il voulez à tout bout de champ foutre le camp et rentrer chez-lui, et il arracher les perfusions, mais ca va mieux, mais le cœur et un ti-peut user, normale à sont age, bon j'étais pas à la fête ces 10 derniers jours,

le bonjour à Corine et Émilie

j.d.l.l a dit…

oups, quel idiot je fait!, à nadia le boujour aussi!

Patrick Mandon a dit…

Je dis qu'un homme de 84 ans, hospitalisé, voulant se débarrasser de ses perfusions, est hautement fréquentable ! Tous les garçons, et toutes les filles de Tous les garçons saluent chaleureusement ton père, Jean, et te font part de leur soutien dans ce moment difficile.

Corinne a dit…

Bonjour Jean ! de tout coeur avec toi, d'autant que j'en reviens moi aussi (le mien a 87ans)..

j.d.l.l a dit…

Merci Patrick, et je re-dis ma maison t'ai grande ouverte, si tu descend dans le sud un de ces jours, nos soucie pour cela, même en été si j'suis pas là, tu est le bien venu chez-moi, comme cela tu te reposera de toutes ces turpitudes virtuelle, et la mer a 100 mettre, amitié Patrick

j.d.l.l a dit…

Ta vu Corinne, la galère j'ai passer ( Rire), mais bon c'est la vie, bisous à toi Corinne

Corinne a dit…

Oui ! Le mien est maintenant en fauteuil roulant. Il n'en est pas à sa première intervention, à chaque fois, il s'en était relevé..
J'ai passé dix jours avec lui, c'est tout ce que j'ai pu faire. Promenades en fauteuil, bord de mer.. mais 110 kg pour 1m85, c'est dur dans les montées ! Espèrons qu'on puisse les garder encore longtemps, nos zèbres :-).. Bises Jean.

Emilie a dit…

Bonjour JDLL ! Bonjour tous et toutes du Nomades'land ! Bises du Sud où l'été tarde à venir !

Patrick Mandon a dit…

Voici, à l'attention de vos pères, Corinne et Jean, cette chanson, dans sa version originale. Vous la connaissez, modifiée, interprétée par Daniel Guichard. (Cliquez sur le titre Mon vieux )

Corinne a dit…

Merci Patrick, mais je ne vois pas le lien..
Mon père n'a jamais eu de vieux pardessus râpé, il adorait les beaux costumes, la prestance, un séducteur quoi, doublé d'une force de la nature, mais généreux.. A part ça, des tonnes de défauts bien sûr, infidèle, un peu roublard, beau parleur.. Mais j'aime cette chanson.

Corinne a dit…

..Je voulais dire : je ne vois pas le lien internet vers la chanson !

Patrick Mandon a dit…

Corinne, en effet, j'avais oublié de placer le lien, que voici : http://www.myspace.com/jacquesboyer
La chanson est certes quelque peu misérabiliste, et l'interprétation de Boyer paraît si éloignée dans le temps. Mais enfin, il s'agit du texte original.
À nos pères, à nos mères, à leurs enfants, à leurs maîtresses, à leurs amants !

marqué à vie par la poésie de Bob Marley a dit…

C'est une évidence...
Qui écoute encore les discours de Patrick ?
Ce qui est sûr c'est que cet individu décoré sous Vichy aura laissé beaucoup de traces dans sa culotte.

Mozart a dit…

moi je vous dis que ce mec est pas parano, il est narcissik

Moi a dit…

qui s'imagine pas qu'il est notre cib privilégiée, c'est surtout ça, hein.

Patrick Mandon a dit…

Son prurit la reprend ! Mandon ne peut rien pour vous, B2 ! Allez plutôt chez l'ovairesbloquée, vous y retrouverez votre odeur de femme qui se néglige.

thé a dit…

Ah ! Non
Et, je le regrette
Je n'ai pas fait partie de ce coup-là. J'ai beaucoup ri.
J'ai regretté aussi que la répartie ne soit pas à la hauteur de l'attaque.
Fourbissez vos armes, PM, vous êtes trop gentil.
Et, à vouloir trop l'être, on passe facilement pour un niais.
Je vous salue, PM.

Patrick Mandon a dit…

Thé, vous avez la mémoire sélective, ou chancelante : votre appréciation de ma gentillesse est très variable… Mais pourquoi donc revenez-vous toujours ici ? Ne vous avais-je point fait connaître, à plusieurs reprises, combien il me serait agréable que je ne vous y visse plus ! Vous avez tout essayé, tout feint, et tout en vain : l'intérêt, la modestie, l'ironie, la cajolerie, la brusquerie, et, toujours, je vous ai prié de ne plus m'importuner de vos poulets mal écrits et prétentieux. Vous ne m'« inthéressez » pas. Rien en vous, pour ce que j'en pressens, ne m'attire, ni ne me plaît.
Thé, la toile est grande, le monde est vaste, vous finirez par m'oublier. Prenez donc avec vous Birahima l'incontinente : une paire de dames telles que vous vaut bien un ass(hole)…

Thierry a dit…

François Mandon est un éditeur reconnu.

Mar y sol a dit…

Emilie Mandon est une traductrice reconnaissable.

vox populi vox dei a dit…

mais personne ne connaît patrick mandon.

thé a dit…

Oh, j'ai effectivement une mémoire sélective comme tout être humain ; seul, Goggle peut se prévaloir de ne rien oublier.
Je ne suis pas venue ici, à maintes reprises
Je ne vois pas ce qui m'y aurait amenée.
Actuellement, oui, j'aime beaucoup ces messages surréalistes.
Si vous en êtes l'auteur, bravo !
Cela dit sans ironie, cajolerie, brusquerie.
Je vous salue, PM
Cela fait deux fois ; j'avoue qu'il me sera bien difficile d'arriver au nombre de saluts que vous m'avez infligé par blogs interposés.
Ne me répondez plus, une fois suffisait, mon brave.

Patrick Mandon a dit…

Thé, les saluts que je vous ai adressés ailleurs ne pouvaient pas prêter à équivoque : ils étaient faits pour vous agacer les dents. Ils y sont parvenus. Il n'empêche que vous êtes venue ici à maintes reprises, alors que je vous ai immédiatement laissé entendre que votre présence m'importunait. Vous aviez, naguère encore, des prétentions littéraires, à vocation « surréelle » sinon surréaliste : elles vous faisaient adopter le style d'un télégraphiste, qui aurait lu rapidement Saussure. Je note que, sur mes recommandations, vous l'avez abandonné. Vous avez eu raison. Il faut toujours obéir aux fondamentaux de la grammaire, quand on n'a pas les ressources nécessaires à leur dépassement.
Voilà, Thé, ce qu'il me restait à vous dire. Et ce sera tout, Thé !

thé a dit…

Non, vous feriez tout pour avoir plus d'audience que celle à la laquelle vous êtes astreint.
J'ai du temps, ce soir, et regrette ne pas en avoir eu plus tôt pour m'amuser à répondre à votre importun, ce que vous n'avez su faire.

Non, retournez à Goggle ; lui seul sait où notre mémoire faillit. Et pour les preuves quant à mes outrages à l'encontre d'une de vos amies et quant à mes occurences (sic) ici.

Et, hélas, non, on va dire que ma nature méditerranéenne, mon tempérament font que je redouble les pronoms à l'envie

Saussure, c'est bien, c'est le début de la linguistique
Il vous faudrait aller au-delà pour entrevoir ce que peut être une science du langage ; avec un peu d'effort et de bonne volonté, vous arriveriez à comprendre certains prémisses.
Et, il n'a rien d'un grammairien ; vous avez dû confondre avec Grévisse

Nous en resterons là, PM ; cela me gêne profondément de dialoguer avec quelqu'un qui entretient des confusions
Peut-être un peu de charité chrétienne fait que j'y réponde
Voilà que notre éducation nous joue des tours
Je vous salue, et, j'espère pour la dernière fois

PS
Je vous remercie d'avoir eu l'honneur immérité de l'un de vos messages

Anonyme a dit…

La peste soit de la pompeuse fâcheuse et de sa foldingue !
Faut-il avoir du temps à perdre et rien pour remplir le vide sidérant d'existences apparemment inutiles. Espérons que les apparences sont trompeuses.
Salut Jean, amitiés à ton vif-argent de père. bises aux brunes.

Nuagesneuf a dit…

Bonjour à tous,

Désolé d'arriver un peu tardivement. J'imagine, mon cher Patrick, comme ce stupide harcèlement doit vous peser.

Notre cher Jean a manqué une lettre, en évoquant "un/une cinglé(e) à bloc " : Jean, tu aurais pu dire " à blog" , une cinglée à blog...
Quant à ton papa, l'arracheur de tuyaux en quatre, je me joins à toutes et tous pour lui souhaiter encore bien des grandes giclées de ciel azuré.

Il y a soixante sept ans aujourd'hui, une partie de ma famille fut raflée à Néris les bains et ne revint jamais. Les suivants non plus.

Mes affections fidèles à Corinne, Emilie, Nadia, Corinne.

Anonyme a dit…

Mon cher Jean-Michel, pour Jean-Pierre, Natacha ou Samuel. Ces mots ont toujours cours et personne n'est heureusement de taille à pouvoir vous arrêter.
Je vous embrasse.

j.d.l.l a dit…

JMT, t'ai brave, c'est pas une lettre que je manque, «les phrases entière», milles escuses, j'ai pas était très longtemps à l'École, plutôt l'usine, mais bon, rien de grave, ont sais très bien que je suis le cancre de chez « tous les garçons s'appellent Patrick »

Aller! Bogdanof, Adolf et je ne sais quoi encore, arrête t'ai conneries, soi-sympas

j.d.l.l a dit…

JMT et une pensé pour ta famille et le chaos de la guerre, de même pour ma famille JMT, ma mère sur les routes de la Beauce se faisant tiré dessus, et dénoncé par des paysans beauceron, exactement à Cormainville,bref, il y à tant a dire, juste se souvenir et jamais oublier se que l'homme et capable d'infliger à un autre homme, amitié JMT

Patrick Mandon a dit…

Thé, quelques observations, relatives à votre dernier suintement :
On n’est pas « astreint à une audience ». il peut arriver qu’une certaine audience soit une contrainte, mais une astreinte, jamais, surtout dans le sens où vous paraissez l’employer. Quant à savoir si je ferais « tout pour avoir plus d’audience », je réponds ceci : « Ceux qui m’aiment prendront la limousine, les autres rentreront avec le corbillard ! »
Vous écrivez la forme orthographique fautive « occurences », pour « occurrences ». En outre, ce terme, que vous empruntez à la linguistique, ne signifie rien dans ce contexte.
Je vois, en outre, « à l'envie », alors que j’attendais « à l’envi ».
Vous écrivez : « Saussure […] n’a rien d’un grammairien ». Ce qui me conduit à vous répondre ceci : je n’ai établi aucune relation entre Saussure et la grammaire, j’ai évoqué un personnage imaginaire, qui vous ressemble, et son style de « télégraphiste, qui aurait lu rapidement Saussure. ». Je voulais ainsi moquer votre forme prétentieuse (que vous avez heureusement abandonnée, grâce à mes remontrances), qui vous faisait supprimer les pronoms, et autres syntagmes si utiles dans la correspondance écrite. Je me souviens que vous aviez tenté de justifier votre petite préciosité par votre prétendue connaissance de la linguistique. Je vous avais trouvée amusante…
Vous écrivez encore : « certains prémisses ». Faute ! Si vous songiez au commencement des débats amoureux ou au début d’une révolution, il fallait écrire : « certaines prémices » (féminin, toujours au pluriel). Si vous évoquiez un énoncé (par exemple, l’une de vos trop nombreuses interventions chez Tous les garçons), ou encore cette figure de la logique qu’on nomme le syllogisme, vous deviez alors orthographier ainsi : « certaines prémisses », car, si son usage n’exige pas le pluriel, le mot « prémisse », dans ce dernier sens, veut, lui aussi, le féminin !
Vous m’avouez : « cela me gêne profondément de dialoguer avec quelqu'un qui entretient des confusions ». Eh bien, vous reconnaîtrez peut-être que j’aurai au moins dissipé vos confusions !
En revanche, je reconnais avoir manqué à votre égard de charité chrétienne…