Grâce soit rendue à Corinne : pour mes étrennes, elle m'a offert cet étonnant extrait, que je connaissais mal :
Bashung cherchait la lumière.
De son côté, Anne m'a aiguillé vers un personnage par moi totalement ignoré. Dès les premières images, j'ai été impressionné. C'est une apparition, un miracle de beauté brûlante et « absente ». Sa carnation lui donne la double appartenance à l'espèce humaine la plus sensuelle et au genre droïde de la dernière génération. On dirait un « feu de marbre ». Or, il faut qu'elle soit de sang et d'eau pour chanter ainsi le fado.
Merci Anne, cela relève de l'envoûtement.
2 commentaires:
Ah, le Cantique ... mis en musique et arrangé par Rodolphe Burger - j'ai publié quelque chose de lui il y a peu.
Heureuse année, Patrick !
Je suis heureuse que vous ayez aimé. Mariza, lisboète d'origine mozambicaine, venue du jazz, porte le fado à une hauteur rare. Elle est la grande fadista du temps, que l'on attendait. elle est déjà vénérée comme telle. Elle est miraculeuse. La manière dont elle adapte à son physique d'antilope la grande robe noire sublime la tradition. Généralement, elle donne en France un concert par an, salle Pleyel, mais tout est arrêté depuis plus d'un an en raison de la naissance de son premier enfant, très fragile.
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