En d'autres temps, dans ce blogue (voir en bas les références), j'ai fait part de ma très ancienne inclination pour la musique et pour le chant des Tziganes. J'aime
leurs sons déchirants, leurs plaintes affolées, leurs chagrins
lancinants qu'un verre de vin ou une caresse font oublier. Hier, j'ai
trouvé le commentaire d'une inconnue (je suppose qu'il s'agit d'une
femme, puisque son intervention est signée Tamara (enfant, déjà,
j'aimais les inconnues et les étrangères), destiné à l'un des articles,
déjà anciens, que j'ai consacrés à quelques-uns des grands artistes de
ce peuple ici …Tamara
me dit préférer Sonia Dimitrievitch et Maroussia à ma très vénérée
Valia Dimitrievich et à son frère Aliocha
(https://www.youtube.com/watch?v=2I1L-2oFQd0, le code d'intégration ne
fonctionne pas). J'observe que le concert a été déposé là par
RusNasledie (http://rusnasledie.blogspot.fr/). RusNasledie est un garçon
éminemment sympathique, qui se voue à l'illustration et à la défense de
la chanson tzigane. Donc, j'entends, sur les conseils de Tamara, la belle Sonia, accompagnée par Yoska Nemeth, maître des violons.
L'enchantement est immédiat : je me transporte à Budapest, dans un restaurant très excentré que je connais, et qu'on atteint après avoir traversé un territoire assez grand bâti d'immeubles de type soviétique, plantés sur une sorte de terrain mouvementé. Quand vient le soir, les hommes se retrouvent autour de feux de cageots, au pied des immeubles. Ils sont tziganes. Ils parlent en silence, vous observent à la dérobée, sans vous accorder plus d'attention que cela.
J'entends et J'aime Sonia, je remercie Tamara, mais je place toujours au-dessus de toutes et de chacun Valia Dimitrievitch. Elle est la voix (la voie) du voyage imaginé, du vent sur la plaine : une voix de plaisir et d'orgueil, une voix de muqueuse…
Présentée par RusNasledie : L'enchantement est immédiat : je me transporte à Budapest, dans un restaurant très excentré que je connais, et qu'on atteint après avoir traversé un territoire assez grand bâti d'immeubles de type soviétique, plantés sur une sorte de terrain mouvementé. Quand vient le soir, les hommes se retrouvent autour de feux de cageots, au pied des immeubles. Ils sont tziganes. Ils parlent en silence, vous observent à la dérobée, sans vous accorder plus d'attention que cela.
J'entends et J'aime Sonia, je remercie Tamara, mais je place toujours au-dessus de toutes et de chacun Valia Dimitrievitch. Elle est la voix (la voie) du voyage imaginé, du vent sur la plaine : une voix de plaisir et d'orgueil, une voix de muqueuse…
Sur la musique tzigane, vous lirez, si le cœur et le corps vous en disent Valia, la voix des humeurs du vent Aliocha, Yashband, Goga
Pour Corinne
Sortez vos mouchoirs ! Ferveur et marquisat J'aimais déjà les étrangères…
Nouvelles de la brume
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