(Note : les photographies des manifestants sont des captures d'écran. Deux d'entre elles ont été modifiées par mes soins : ajout de deux bulles de texte et rayure d'un mot.)
À propos d'un philosophe, l'un des plus ardents défenseurs de la culture française, commentateur inspiré de Charles Péguy, conspué hier par des éléments de la populace hargneuse et définitivement dangereuse, ceci :
Apparaissent, parmi d'autres, dans l'extrait ci-dessus d'un film, remarquable, de Daniel Costelle et Isabelle Clarke, deux hommes, Romain Gary et Jean-Louis Crémieux-Brilhac. Ils ont couru tous les risques pour sauver le France entre 1940 et 1945. Ils étaient juifs.
Et encore cette réponse, inspirée, d'un humoriste irrésistible, et, ici, dramatiquement cinglant :
Conclusion : Ingrid Caven, Die Srassen stinken (Les Rues puent)
Note : Je ne crois pas que Finkielkraut portera plainte : il tient compte de la situation paradoxale dans laquelle il s'est trouvé, hier : il a plutôt soutenu le mouvement de protestation des gilets jaunes, or il fut injurié par quelques-uns issus de ce même mouvement. Je pense que sa seule idée consistera à identifier l'origine politique de ces voyous.
L'autre paradoxe réside dans ce fait : il n'est nullement un soutien inconditionnel de la politique israélienne.
Qui sont ses insulteurs ?