mercredi 20 février 2019

L'odeur des rues 2



Karl Lagerfeld (1930, 1931, 1932, 1933, 1934, 1935, 1936-2019) : immense personnage !

(Note : les photographies des manifestants sont des captures d'écran. Deux d'entre elles ont été modifiées par mes soins : ajout de deux bulles de texte et rayure d'un mot.)

Sur Kaiser Karl :  Le tremblant des vitrines

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bah... Comme on dit par chez moi : "avec un âne, on ne fait pas un cheval de course"...
Sans structure, les "gilets jaunes" ne sont que les victimes de leurs diversités ; et comme chacun prêche pour sa paroisse et n'a cure de son prochain, cette bouillie populaire ne fait que se répandre dans le caniveau...
;-)

Patrick Mandon a dit…

Bonjour Hyôtoko ! Vous avez raison, les gilets jaunes ont tort de ne pas s'organiser. On voit bien que leur force s'épuise chaque semaine un peu. Ils redoutent plus de voir surgir de leurs rangs des individualités talentueuses (il y en a) que de faire périr leur mouvement par manque d'initiative. Leurs revendications, essentiellement dans les domaines de la pression fiscale et du pouvoir d'achat, étaient justifiées. Il ne restera bientôt de tout cela qu'un souvenir confus et flétri ; sans compter les signes de prise en main d'une partie d'entre eux par des groupes inquiétants. Vous écrivez « cette bouillie populaire ne fait que se répandre dans le caniveau… » : cruel, terrible et juste. À vous lire.