À l'attention de Florence, qui écrit joliment « Intemporel ce Temporel », voici l'interprétation de « Bal chez Temporel », par Guy Béart.
http://youtu.be/xy4W1JOFGAw
J'espère augmenter son plaisir en faisant suivre ce texte magnifique, si bien mis en musique, par « C'était bien » ( Le bal perdu, paroles de Robert Nyel, partition de Gaby Verlor), où l'on retrouve Bourvil.
http://youtu.be/GXV-1ZebdBs
Ces deux chansons sont également dédiées à toutes les dames qui passent…
5 commentaires:
Merci, cher Patrick, pour ces charmantes attentions ! Les deux vont si bien ensemble. Béart me ramène à mon enfance, quant à Bourvil, je le trouve terriblement émouvant... J'aime beaucoup cette chanson, l'association de ces trois mots simples, "C'était bien" a de plus quelque chose de fascinant, c'est d'ailleurs un des titres que j'avais choisis pour l'opération "Sauvegarde du sourire" de Jérôme. Vous avez donc visé très juste !
je suis une dame, je passe, je pique le Bal, je dépose une sardine
http://annavalennmood.blogspot.com/2010/12/la-sardine-et-landouille.html
et je vous embrasse, tous les 2 ! flo et patrick
anna
La Dame de pique vient au bal, où danse Florence et son cavalier. La valse s'achève, Florence, étourdie, murmure seulement : « C'était bien ! ». Près d'un rideau cramoisi, un homme en habit noir, portant un loup de velours cerné d'argent, disparaît dans la pénombre. La châtelaine du Liban, vive comme une tendre tornade, et la belle Florence de Sanharnais, libre florentine, s'avancent jusqu'au seuil de la nuit opaque, mais ne s'y aventurent point.
C'est ainsi que les êtres se trouvent et se perdent.
Masques et bergamasques... Merci de m'avoir ainsi conviée à une de vos Fêtes Galantes.
Patrick, vous êtes l'élégance faite homme.
signé, tendre tornade ou la châtelaine aux pieds nus
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