Même si ce message n'est pas sans un certain rapport avec le précédent (Avedon/Noureev), c'est pour rien d'autre, pour la seule raison, très obscure et très fondamentale, de m'enfoncer un peu plus dans l'épais mystère amoureux de cette chanson étrange et sentimentale, et pour le seul plaisir de l'entendre dans cette version :
« Et le plaisir s'accroît quand l'effet se recule », Polyeucte, Corneille.
C'est pourquoi, sans craindre de vous lasser, alors que vous me demandez grâce, je veux rassasier votre ouïe du beau chant que voici :
On entendra aussi Voici Leonard, sortez vos mouchoirs
4 commentaires:
Eh oui, et c'est ainsi que j'entends dance me to the end of life... Je suis un brin démodée, soit. So what ? L'amour qui dure, et la tendresse, c'est bon et beau.
Anna, heureux celui qui est aimé de vous !
@Anna
Un kakemphaton de Corneille, rien de tel pour se pâmer en amour ! (Elle désire sa croix quand les fesses reculent)
Mais Corneille récidiva, sur un registre moins érotique, dans Horace : "Je suis romaine, hélas, puisque mon époux l'est"
Douces amitiés, mes amis.
Léonard !
Très belle chanson, merci de nous l'avoir postée. Je vous l'emprunte.
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