Où en étais-je ? à la fin? au commencement ? J'en étais là, assurément, quand l'année nouvelle est arrivée. Alors voilà : à toutes celles, à tous ceux qui passent par ici, qui s'y arrêtent -qu'ils laissent une trace, ou qu'ils confient au vent numérisé le soin d'effacer leurs pas- je présente mes vœux. Je leur souhaite de connaître encore et régulièrement le bonheur d'être au monde et la douleur d'être né. Il y a entre ces deux pôles des zones de turbulence, qui nous sont peut-être indispensables.
Il faudrait posséder assez de grâce pour se retirer élégamment du jeu…
C'est pour vous ! Duo épatant, que je ne connaissais pas, Françoise Hardy souveraine, Michel Delpech encore jeune, dont la voix convient parfaitement à cette sorte de blues sur le mode suave.
C'est pour vous ! Trouvé par hasard cette brillante interprétation, par une jeune femme, que sert admirablement l'orchestre.
Je ne me suis pas trouvée dans votre longue liste, mais je suppose que je n'étais pas encore née... ;-) Je vous souhaite une très belle année, même si la phrase est lisse et convenue, elle vient du coeur et je ne la changerai pas. La chanson "l'amitié" est une des premières que je suis arrivée à chanter quand j'ai appris la guitare. Les magnolias étaient en fleurs, et moi aussi. je vous embrasse. Sincèrement vôtre ¸¸.•*¨*• ☆
Vous ne vous êtes pas trouvée, dites-vous ; mais vous ne pouviez être dans aucune de ces listes (il n'y en a pas qu'une seule), car elles sont antérieures à cette année. En d'autres temps, en effet, je nommais les unes et les autres, auxquels je destinais un morceau de musique. Je ne vous connaissais pas encore, et certes j'avais tort, mais vous ne pouviez donc pas être « un nom sur ma liste, un pas que le vent sur la piste efface avant d'avoir été ». Cliquez, comme on dit, sur l'une ou l'autre de ces listes, et vous vérifierez tout cela. « je suppose que je n'étais pas encore née… »… Vous avez de beaux yeux et de l'esprit, cependant j'ai longuement observé la dernière pluie : vous n'y étiez pas ! Je vous embrasse, Begli Ochi.
Mais c'était de l'humour voyons... Je sais bien que je ne suis pas née de la dernière pluie. Et j'avais lu en diagonale donc je n'avais pas vu que c'étaient des liens vers le passé...
Dsata, si vous revenez ici, l'accès à votre blogue est impossible désormais. Je suppose que, pour vous garantir contre d'encombrants solliciteurs, vous en avez verrouillé l'entrée. Mais vous privez ainsi vos admirateurs de découvrir les trésors qu'il recèle. Ne nous laissez pas ainsi, hagards et contrits !
Je suis désolée de vous savoir un peu désappointé. Vous pouvez retrouver à cette adresse une bonne partie (une 60aine) des posts qui figuraient sur "Pictures" :
J'ai pour l'instant mis en privé mon blog et ne me suis pas encore résolue à faire par exemple un transfert vers une autre plateforme de blog (auquel cas je vous l'indiquerais).
C'est entendu, Dsata. Dès que vous le pourrez (et le voudrez), reprenez votre admirable travail de fouilles et de recherches. J'invite d'ailleurs celles et ceux qui viennent ici à consulter l'adresse, que vous nous indiquez : http://pictures3237.rssing.com/chan-36810955/all_p1.html Amitiés vives
Tous mes voeux également pour une année 2016 apaisée et gaillarde, si la lourdeur des temps nous le permet... Quant à Michel Delpech, sa disparition m'a émue beaucoup plus que je ne l'aurais cru. Je ne savais pas qu'il écrivait les paroles de ses chansons. Et pour répéter "c'était bien chez Laurette" dans un texte écrit à 18 ans, il faut être un grand mélancolique, 30 glorieuses ou pas... Et c'est ce qu'il était. Ce documentaire excellent m'a aussi fait découvrir une parfaite chanson de la maturité "J'étais un ange", écrite avec Barbelivien. Je crois qu'elle vous plaira, si vous ne la connaissez pas...
Anne ! Est-ce l'Anne qui venait ici voici quelque temps déjà, celle qui aime le théâtre, la parisienne vive qui citait fort justement Céline ? Si c'est elle, je me réjouis de son passage, même furtif, même sans lendemain, si c'est une autre, je l'accueille bien volontiers. Oui, « J'étais un ange » me plaît infiniment, ainsi que « Loin d'ici », et « Les aveux », et encore, mais pour d'autres raisons, essentiellement d'adolescence obstinée, « Tu me fais planer ». La personnalité de Delpech tranchait sur le commun du show business. Il fut un homme de grande mélancolie, en effet, Anne. La mélancolie est une compagne intermittente mais obstinée. Je vous salue.
Que vous souhaiter ami Patrick? Vous avez tout! La santé? Vous êtes endurant. Riche? Vous l'êtes, vous avez des amis. Le bonheur? Vous êtes un homme heureux puisque vous écrivez. L'amour? Dieu vous en préserve..! Alors quoi? Je cherche... Ah si! Une chose,.! Ne perdez jamais de vue le petit garçon qui est en vous. Vous savez, celui qui s'émerveillait des spectacles quotidiens et qui donnait sans espérer rien en retour. Bonne année Patrick!
Bonjour, Beau gosse. Vos rares passages me sont un vrai plaisir. Très sensible à « L'amour? Dieu vous en préserve..!». Quant à l'enfance : un petit parisien m'attend au métro Villiers…
Oui, c'est bien moi, Anne, qui vous rend visite régulièrement, toujours hanteuse de salles de théâtre, avec une propension à m'énerver plus facilement (serait-ce l'âge qui avance et me rend irascible?) devant les spectacles ineptes et prétentieux de tel "Centre dramatique nâtional" de banlieue qui dégoûte efficacement ses riverains du théâtre, et parfois un coup de coeur pour un spectacle foutraque... À l'art, à la scène, au clinquant, aux lampions du bal, à 2016 et à vous!
15 commentaires:
Tout simplement merci, cher Patrick.
Je ne me suis pas trouvée dans votre longue liste, mais je suppose que je n'étais pas encore née... ;-)
Je vous souhaite une très belle année, même si la phrase est lisse et convenue, elle vient du coeur et je ne la changerai pas.
La chanson "l'amitié" est une des premières que je suis arrivée à chanter quand j'ai appris la guitare.
Les magnolias étaient en fleurs, et moi aussi.
je vous embrasse.
Sincèrement vôtre
¸¸.•*¨*• ☆
Vous ne vous êtes pas trouvée, dites-vous ; mais vous ne pouviez être dans aucune de ces listes (il n'y en a pas qu'une seule), car elles sont antérieures à cette année. En d'autres temps, en effet, je nommais les unes et les autres, auxquels je destinais un morceau de musique. Je ne vous connaissais pas encore, et certes j'avais tort, mais vous ne pouviez donc pas être « un nom sur ma liste, un pas que le vent sur la piste efface avant d'avoir été ». Cliquez, comme on dit, sur l'une ou l'autre de ces listes, et vous vérifierez tout cela.
« je suppose que je n'étais pas encore née… »… Vous avez de beaux yeux et de l'esprit, cependant j'ai longuement observé la dernière pluie : vous n'y étiez pas ! Je vous embrasse, Begli Ochi.
Mais c'était de l'humour voyons...
Je sais bien que je ne suis pas née de la dernière pluie. Et j'avais lu en diagonale donc je n'avais pas vu que c'étaient des liens vers le passé...
:-)
Il est également temps pour moi de passer aux (a)voeux en vous souhaitant une très heureuse nouvelle année !
Bien à vous.
Dsata, si vous revenez ici, l'accès à votre blogue est impossible désormais. Je suppose que, pour vous garantir contre d'encombrants solliciteurs, vous en avez verrouillé l'entrée. Mais vous privez ainsi vos admirateurs de découvrir les trésors qu'il recèle. Ne nous laissez pas ainsi, hagards et contrits !
Patrick,
Je suis désolée de vous savoir un peu désappointé.
Vous pouvez retrouver à cette adresse une bonne partie (une 60aine) des posts qui figuraient sur "Pictures" :
http://pictures3237.rssing.com/chan-36810955/all_p1.html
J'ai pour l'instant mis en privé mon blog et ne me suis pas encore résolue à faire par exemple un transfert vers une autre plateforme de blog (auquel cas je vous l'indiquerais).
Amitiés.
C'est entendu, Dsata. Dès que vous le pourrez (et le voudrez), reprenez votre admirable travail de fouilles et de recherches. J'invite d'ailleurs celles et ceux qui viennent ici à consulter l'adresse, que vous nous indiquez : http://pictures3237.rssing.com/chan-36810955/all_p1.html
Amitiés vives
Tous mes voeux également pour une année 2016 apaisée et gaillarde, si la lourdeur des temps nous le permet...
Quant à Michel Delpech, sa disparition m'a émue beaucoup plus que je ne l'aurais cru. Je ne savais pas qu'il écrivait les paroles de ses chansons. Et pour répéter "c'était bien chez Laurette" dans un texte écrit à 18 ans, il faut être un grand mélancolique, 30 glorieuses ou pas... Et c'est ce qu'il était. Ce documentaire excellent m'a aussi fait découvrir une parfaite chanson de la maturité "J'étais un ange", écrite avec Barbelivien. Je crois qu'elle vous plaira, si vous ne la connaissez pas...
http://pluzz.francetv.fr/videos/discographie_,133448847.html
https://www.youtube.com/watch?v=rlrvfeDNsBM
Amitiés...
Anne ! Est-ce l'Anne qui venait ici voici quelque temps déjà, celle qui aime le théâtre, la parisienne vive qui citait fort justement Céline ? Si c'est elle, je me réjouis de son passage, même furtif, même sans lendemain, si c'est une autre, je l'accueille bien volontiers.
Oui, « J'étais un ange » me plaît infiniment, ainsi que « Loin d'ici », et « Les aveux », et encore, mais pour d'autres raisons, essentiellement d'adolescence obstinée, « Tu me fais planer ».
La personnalité de Delpech tranchait sur le commun du show business. Il fut un homme de grande mélancolie, en effet, Anne. La mélancolie est une compagne intermittente mais obstinée. Je vous salue.
Que vous souhaiter ami Patrick? Vous avez tout!
La santé? Vous êtes endurant.
Riche? Vous l'êtes, vous avez des amis.
Le bonheur? Vous êtes un homme heureux puisque vous écrivez.
L'amour? Dieu vous en préserve..!
Alors quoi? Je cherche...
Ah si! Une chose,.! Ne perdez jamais de vue le petit garçon qui est en vous. Vous savez, celui qui s'émerveillait des spectacles quotidiens et qui donnait sans espérer rien en retour.
Bonne année Patrick!
Bonjour, Beau gosse. Vos rares passages me sont un vrai plaisir. Très sensible à « L'amour? Dieu vous en préserve..!». Quant à l'enfance : un petit parisien m'attend au métro Villiers…
Oui, c'est bien moi, Anne, qui vous rend visite régulièrement, toujours hanteuse de salles de théâtre, avec une propension à m'énerver plus facilement (serait-ce l'âge qui avance et me rend irascible?) devant les spectacles ineptes et prétentieux de tel "Centre dramatique nâtional" de banlieue qui dégoûte efficacement ses riverains du théâtre, et parfois un coup de coeur pour un spectacle foutraque...
À l'art, à la scène, au clinquant, aux lampions du bal, à 2016 et à vous!
avec du retard, bonne année Patrick, JDLL
Bonne année JDLL ! Heureux de ton (trop) bref passage. J'aimais beaucoup tes coups de colère et ta sincérité « colérique ». Reviens quand tu veux !
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