On consultera également
Cœurs croisés, cœur gravés
Sur l'état de la France, qui, je le sais et ne l'oublie pas, inquiète, révolte même, Émilie (nous en parlerons prochainement), ces quelques mots de La Fontaine, à propos de Blois : « «Je ne suis pas informé des mœurs anciennes. Quant à présent, la façon de vivre y est fort polie, soit [...] que le climat et la beauté du pays y contribuent, soit que le séjour de Monsieur ait amené cette politesse, ou le nombre de jolies femmes » (lettre à Mme de La Fontaine, 1683).
La France de La Fontaine me convient, je ne tiens pas à en changer pour une autre, et je ne veux pas me « voiler la face »…
12 commentaires:
Ceux qui tous ont laissé leur nom gravé auprès du VÔTRE, mon cher cousin !...
Elle est inoubliable l'aventure du "Nomade's land", aussi, ne partez pas, car si nous n'écrivons pas toujours au bas de vos articles,nous aimons vous savoir là,tout près, à côté, certains, grâce à vous et à votre esprit, que la France de La Fontaine, celle de la pensée et de la culture est toujours vivante et que la flamme n'est pas éteinte,qu'elle ne peut pas s'éteindre !
Bal chez Temporel, une chanson adorée dès l'enfance...quand mon père la chantait ou la sifflait sans répit (c'est un obsessionnel !)
Cher Patrick,n'engloutissez pas la lande de nos souvenirs...Que resterait-il de tous ces mots, ces rires, ces émotions, ces mélodies,tous ces murmures de l'âme auxquels vous avez donné forme et vie, comme un magicien ???
Non, il ne faut pas nous quitter !
À la suite d'une mauvaise manœuvre, j'ai effacé le message d'Émilie-aux-yeux-de-braise, mais, à la suite d'une habile manœuvre, je l'ai replacé. Qu'elle consente à me pardonner !
Oui, ça, je pardonne, mon cousin, mais vous pardonner d'effacer tout le blog, sans vous retourner, et d'un click, le regarder disparaître, JAMAIS !
En fait, j'ai certainement envoyé deux fois le même message ! Merci d'avoir feint de ne pas le remarquer !
Il faut dire que les barrages sont devenus difficiles à franchir, la sélection est rude !
C'est exact, Yeux de braise, votre message était dupliqué.Cela est déjà arrivé, or, vous me parlez de « barrages difficiles à franchir », mais de quoi s'agit-il ? Je vous assure que je n'en ai point placé de nouveaux.
Les barrages sont tous ces mots souvent illisibles qu'il nous faut copier pour prouver que nous "ne sommes pas des robots" ! Nous ne sommes que vos replicants et vous n'êtes pas un blade runner, ou alors un genre de Rick Deckard. Nous ne commentons pas souvent mais nous ne vous lâchons pas des yeux. Après nous avoir élevées, nourries, choyées, vous n'allez pas nous abandonner en rase campagne, livrées au premier blog venu ?
Ah, je comprends ce que sont les encombrements dont parlaient Émilie !
« […] vous n'allez pas nous abandonner en rase campagne, livrées au premier blog venu ? »
L'argument est frôle, et il fait réfléchir. Salut, belle roumaine des ambassades !
Voilà. Frôlez nous !
J'aurai pu écrire, par inadvertance encore : « Salut, belle roumaine des embrassades ! »
« Frôlez-nous » est tout de même très bien vu ! Frôler n'est pas jouer, n'est-ce pas ?
Et jouer n'est pas joué non plus !L'embrassade de France porte parfois bien mal son nom, demain nous recevons mister President et normalement les effleurements n'ont pas été prévus au programme...
- Ah ! Mais, mais, je l'ai lu, ça, et, et, je l'ai entendu, ça !
http://www.rtl.fr/emission/laurent-gerra/ecouter/best-of-laurent-gerra-francois-hollande-episode-14-7750157092
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