Ils furent amants, et, semble-t-il, demeurèrent liés par un sentiment tendre. Quelque chose maintenait un lien entre ces deux superbes spécimens d'humanité, modifiés par la fabrique hollywoodienne de demi-dieux payés au cachet : peut-être le sentiment d'appartenance au peuple, plus rare encore, des élus de la grâce et de l'enfer.
Ci-dessous : Maurice Chevalier, parfait gentleman, préfère regarder ailleurs…
« Je ne nourrissais aucune illusion d'être bonne actrice. Je savais que j'étais un troisième choix. En fait, je ressentais mon manque de talent comme un vêtement bon marché, que j'aurais porté intérieurement. Mais, Dieu, que je voulais apprendre, changer, m'améliorer ! » (M.M).
« Si, jouant le rôle d'une idiote, je dois poser une question stupide, j'y vais franchement. Suis-je supposée paraître intelligente ? » (M.M.).
Ci-dessous : En 1961, Marilyn est hospitalisée dans un service pudiquement dénommé « neurologique ». Elle connaît alors une très profonde dépression. Brando se manifeste sans tarder. On peut considérer ce message comme un acte de tendre solidarité.
Ci-dessous, Marlon Brando : Il tourne Le Dernier tango à Paris. Il est dans une période de régime alimentaire strict. Ses joues creuses, son air d'isolement, et la maturité des épreuves, lui confèrent une beauté sombre. Le cachemire va bien à sa peau…
On lira Brando sur le trottoir, Le fantôme du métro aérien 1, Le fantôme du métro aérien 2, Retour sur le pont Le principe de fascination, Marlon B, for Lady Tanya, and for all Tous les garçons' ladies
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