Quelle qu'elle ait été, émerveillée ou désastreuse, raffinée ou plus que rude, nomade ou châtelaine, notre enfance nous tient la main, et ne la lâche pas. Nous sentons la pression de ses doigts, sa caresse sur notre joue, la force de sa gifle. Elle fonde notre vaste mélancolie.
Poursuivant dans ma « Brandobsession », je donne ce cliché de l'ogre Sa beauté ne le sauvera pas : il pourra bien se boucher les oreilles, toujours il entendra sa plainte d'enfance
C'est ainsi que les hommes vivent.
L'interprétation de ces deux chansons connues, très différentes l'une de l'autre, de Ferré par Thiéfaine, leur donne un singulier relief. Pour la première, on pressent quelque chose comme une lassitude, une résignation nerveuse ; pour la seconde, un empressement de virilité. Pour finir, La Ruelle des morts, de sa composition : l'enfance encore…
L'indésirable 2 Brando sur le trottoir, Le fantôme du métro aérien 1, Le fantôme du métro aérien 2, Retour sur le pont Le principe de fascination, Marlon B, for Lady Tanya, and for all Tous les garçons' ladies
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