lundi 30 août 2010
Les femmes s'entêtent…
dimanche 29 août 2010
Woody Vendôme
vendredi 27 août 2010
Le béguin pour Gabin
mardi 24 août 2010
À celles qu'on a seulement croisées
Georges brassens les passantes
envoyé par tunisien-kiffan. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamaisA celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanouiA la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa mainA la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulut rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre balA celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérantA ces timides amoureuses
Qui restèrent silencieuses
Et portent encor votre deuil
A celles qui s'en sont allées
Loin de vous, tristes esseulées
Victimes d'un stupide orgueil.Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du cheminMais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revusAlors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenirAntoine Pol (1888-1971)
mardi 17 août 2010
Miaou…
dimanche 15 août 2010
samedi 14 août 2010
Cœur de pierre
vendredi 13 août 2010
La nuit 8
Depuis, il erre dans les rues, et quand on lui dit qu'il pleure, il répond qu'il pleut.
She was Boston, I was Vegas,
She was crepe suzette, I was pie,
She was lectures, I was movies, but I loved her.
She was Mozart, I was Macy,
She was afternoon tea, I was saloon,
She was Junior League, I was Dodgers,
But I loved her morning, night and noon.
Opposites attract, the wise men claim,
Still I wish that we had been a little more the same.
It might have been a shoot out war,
If we had know each other more.
She was polo, I was race track,
She was museum, I was G.P.
She did her best to change me
Though she never never knew quite how,
But I loved her, almost as much as I do now.
She was Wall Street, I was pawn shop,
She was French champagne, I was beer,
She knew much more that I did
But there was one thing she didn`t know,
That I loved her, `cause I never never told her so.
lundi 9 août 2010
dimanche 8 août 2010
Farniente parisien
samedi 7 août 2010
Devil in miss Jones
Julio l'américain
vendredi 6 août 2010
La querelle du tango
mercredi 4 août 2010
Musique à bretelles
Magnifique version de Libertango, d'Astor Piazzola
mardi 3 août 2010
Tilt !
Corinne Charby, Boule de flipper (1986). Je crois me souvenir que Christophe n'est pas étranger au succès de cette charmante mélodie d'été.