lundi 30 août 2010

Les femmes s'entêtent…

Mon ami J.L., écrivain français de renom, dont je préserve l'anonymat, m'a autorisé à photographier ses deux cabinets particuliers, où il se retire pour méditer. C'est un privilège, car ne pénètrent en ces lieux que de rares créatures, remplies d'espoirs, largement comblés… Matez !
Photographies © PM
























9 commentaires:

Anonyme a dit…

Je vois avec plaisir que vous avez vite remplacé votre défunt appareil, celui qui voyait la vie en mauve. La bandoulière au cou, l'oeil vif et les sens aux aguets, on vous voit à nouveau traquer le cabinet dans Paris.
Allélujah !

Patrick Mandon a dit…

Nadia, j'ai cru vous reconnaître, l'autre jour…

Anonyme a dit…

C'est que vous êtes surentraîné... Mais pour une fois vous faites erreur, il se trouve que l'autre jour j'étais précisément dans le troisième cabinet, celui où vous n'avez pas été autorisé à rentrer...

anne a dit…

Vraiment cela n'a rien à voir (en dehors du fait qu'il s'agit aussi d'un écrivain français de renom -moindre, plus grand? je ne sais pas, ne sachant qui se cache derrière J-L), mais je me permets de recommander à tous les gens de goût "Ce qui arrive et ce qu'on attend" de J-M. Besset, au Vingtième théâtre, avec la totalement déjantée Virginie Pradal et le merveilleux metteur en scène (il joue aussi) Arnaud Denis.
Cher Patrick, supprimez ce message s'il vous semble déplacé...

Patrick Mandon a dit…

Anne, votre message n'est nullement déplacé. Votre «invitation au théâtre» sera, pour ce qui me concerne, suivie d'effet !
Au fait, Anne, que devient Enid Blyton ?

Patrick Mandon a dit…

Anne, pardonnez-moi, je vous ai confondue avec une intervenante, qui nous avait promis un texte sur Le club des cinq, d'Enid Blyton.
En outre, j'ai effacé votre message, mais par précaution ; en effet, vous semblez l'avoir signé de votre nom patronymique. Je me suis dit que c'était peut-être par erreur, et que vous pourriez le regretter. Si tel n'était pas le cas, veuillez me pardonner ce geste, qui n'était pas de censure mais de précaution. Je vous encourage au contraire à nous rendre souvent visite.

Anonyme a dit…

Du coup j'ose le hors sujet, cher Patrick. Laurent Fignon est mort aujourd'hui, je suis sûre que cela n'aura pas manqué d'émouvoir l'amoureux du cyclisme qui a inauguré son blog par un article sur la petite reine... Je tiens le tour de 89 pour le dernier vrai, avec du sang, de la sueur et des larmes, le sport comme je l'aime, pas cette misérable mécanique formatée où l'on remet en selle chaque année des hommes toujours plus dopés, toujours plus robotisés, toujours plus couvés par des équipes de gourous et de chimistes. Bref, j'aimais bien le parisien à lunettes.

anne a dit…

Merci Patrick, vous êtes un gentleman!
J'espère que la pièce vous plaira. On met de soi quand on recommande un spectacle dont personne encore n'a parlé (les représentations commencent à peine)... et on attend avec tremblements une confirmation et un accord... ou pas!

Patrick Mandon a dit…

La mort de Laurent Fignon, chère Nadia, que nous savions très malade, m'a beaucoup touché. Je suis comme vous, il fut mon dernier héros du tour de France, cette folle équipée que je vénérais. Je compte bien lui consacrer un article.
Anne, j'ai donc bien fait ! Quant à votre patronyme, je l'ai déjà oublié ! À propos, je suis bien certain que vous pourriez nous donner un excellent article sur cette pièce de théâtre…