Elle constitua l'une des plus originales «découvertes» du show business des années Quatre-vingts. Très étudiée, très «mode», elle avait une silhouette incomparable et des yeux fous qui saisissaient l'espace et ses interlocuteurs.
De Libertango d'Astor Piazzola, elle tira la chanson I've seen that face before, pour son album “Nightclubbing”. C'est respectable.
Et puis cette curiosité, Pourquoi me réveiller, extraite de “Werther”, de Jules Massenet (un chant proprement merveilleux), ici massacré, pour satisfaire à nos bas instincts d'amateur pervers de kitsch glamour.
3 commentaires:
De retour de vacances, je vous retrouve avec plaisir, et je me jette avec gourmandise sur toutes ces trouvailles! Merci à vous...
Cette chanson de Grace Jones n'a-t-elle pas été utilisée par Polanski dans ce film qui signa sa rencontre avec Mlle Seigner: "Frantic" (une inoubliable, à mes yeux, scène de boîte de nuit?)
Anne, vous retrouver est un plaisir vrai.
Je suis tout émue!
Quant à "Frantic", ce n'était pas du tout ça: j'ai revu l'extrait en question, c'est une autre chanson de Grace Jones et je ne retrouve plus tout à fait les raisons de ma fascination pour la scène, beaucoup plus courte que dans mon souvenir, sinon que Mlle Seigner, dont j'aime beaucoup l'air d'éternellement sortir du lit, est très touchante dans sa maladresse et sa robe rouge.
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