Allain Leprest : je vous ai maintes fois entretenu de cet homme si doué, tendu comme une corde de violon, mort l'été dernier (
). Voici la même chanson,
Une valse pour rien, interprétée par lui, puis en duo avec sa fille, Fantine ; la maladie a ravagé son apparence, mais, au bord du gouffre, il exerce son beau métier : il chante.
Quelque chose opère ici, qui nous trouble, nous saisit, nous « enchante ».
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