Un sandwich, pour moi, c'est toujours sans beurre… Cela dit, belle roumaine, c'est charmant d'être venu à l'inauguration. Ici, ce n'est pas comme chez causeur, j'ai l'impression d'être un jeune marié, je ne sais pas quoi faire de mes mains.
Gardez-les grandes ouvertes, accueillez, Patrick, laissez-les venir, ne laissez pas tomber le sourire. Après, seulement, vous pourrez les "toucher" vos hôtes.
Je relève une petite erreur dans l'accroche! En réalité, tous les garçons s'appellent Patriiiiiick! Que la route sur ce site soit une nationale 7 estivale! L'Ours.
Bon, alors, on parle de quoi maintenant qu'on a passé un quart d'heure à s'inscrire, se connecter, se perdre, retrouver les mots de passe dans la boîte à couture (eh oui, je couds parfois !)? Il est où Patriiick ?!
Bon, Mandon, tu viens de créer un besoin, tu ne peux pas le décevoir, comprends-tu ? J'imagine que tu es en train de flâner, d'enchérir à Drouot, de résoudre un problème de géométrie dans l'espace, mais, maintenant, tout ça, c'est fini. On te demande à l'écritoire.
Prédiction bien incertaine, madame Irma. J'ai rarement vu une aussi sale gueule que la vôtre. J'ai fait un régime, l'affaire est réglée, mais, vous, votre trogne à la Castaldi, qu'est ce que vous pouvez faire, malheureux, victime de mère nature ?
Je comprends l'invention Alice, le fantasme auprès d'Emilie. Allons, pensez-vous que la dame va tomber sous le charme ? Vous n'avez pas les vers de Cyrano en compensation. Elle sera gentille et vous évitera un affront supplémentaire en n'étant pas franche, mais c'est tout. Votre main gauche restera donc votre compagne éternelle Mandon, votre Iseult. Ne parle t-on pas d'Iseult les mains blanches dans notre mythologie ? Triste et Iseult sa main blanche, le couple de l'année chez Causeur.
Vous connaissez ma compassion naturelle pour les gueux, et bien le gueux, je vous pardonne tout et souhaite de tout coeur que vous soyez très riche pour pouvoir baiser de temps en temps.
Vous étiez mieux que moi à 40 printemps, je ne vous crois pas.La forme du visage, les yeux etc, c'est impossible.
Allez, je ne viendrai plus perturber "le cercle des minables disparus", promis. Les histoires de profs Barbie dans l'âme, de bicyclettes même pas bleues, de photocopieuses, de pédophiles chassant en Irak ne sont pas pour ma noble personne. Tout ceci est bien laid, bien sale.
Patrick, qu'est ce que c'est que ce gros barbare assis sur une bitte d'amarrage, qui a l'air de te connaître ? Je sais que tu es très «social», mais là, je pense que c'est plutôt ta tendresse pour les animaux. Tu l'as sorti d'un chenil, ce rottweiler clochardisé ? Pourquoi n'interviens-tu pas immédiatement ? Oui, je sais «Il faut les laisser s'exprimer, ces cas sociaux, sinon, ils passent à l'acte sur une petit vieille.». Mais fais attention ! C'est ton blog, ici, tu as le droit et le devoir de censurer la malveillance. Sinon, tous les ratés de la bogosphère, plus tous ceux que tu as écharpés sur Causeur vont arriver ici. À propos de ce Lefebvre, je suis allée sur son blog. Oh là là ! Je cours encore ! Tout vacille chez ce pauvre type : l'esprit, la plume, les idées. On sent une grande misère morale. De plus, son truc, c'est un désert : personne ne le lit, à part un ou deux, paumés comme lui. à part un ou deux, paumés comme lui. Patrick, fais disparaître les interventions malfaisantes de ce pauvre mec, cesse de «vouloir comprendre», cesse d'être «libéral». Mille bacci !
Émilie, vous revoici ! Je ne vous ai pas remercié pour votre… fidélité. Je ne doute pas qu'elle s'accompagnera d'un délicieuse ironie. Je vous ai dit ailleurs que, de tous ceux qui me détestaient, c'est vous que je préférais. Je le confirme. J'aimerais néanmoins que ce blog naissant ne sombre pas immédiatement dans la mauvaise querelle. Je savais que ce pauvre type viendrait ici, et que d'autres le suivraient, ou, même l'auraient précédé. Figurez-vous que, le suivant, une petite dizaine de messagers du fiel ont déposé leurs productions ici. Certes, j'ai pu éliminer, mais si cela devait se poursuivre… Nous verrons bien. Par ailleurs, je me rends compte qu'un blog bien tenu, c'est beaucoup de travail. Mais, chère amie, vous n'avez rien dit de la première partie de mon Tour de France. Le sujet ne vous inspire-t-il pas ? même pas l'une de ces petites rosseries bien tournées dont vous avez le redoutable secret ? Quoi qu'il en soit, je vous livrerai la suite de Pédaler pour la France peut-être ce soir. Autre chose : j'aimerais vous faire écrire sur l'éblouissement algérien, sur la déchirure, sur la rude adaptation à un nouveau territoire. j'aimerais vous lire sur le ton de la confidence lyrique maîtrisé qui est le vôtre. Vous devriez me proposer un sujet. Avez-vous un animal de compagnie (je ne parle pas d'un homme), dont nous pourrions placer la photographie ? Je trouve qu'une case vide veut être comblée… Je vous salue comme je vous estime.
On attend la suite du Tour, Pat, puis on attend autre chose. On veut plus.Tu dois t'occuper de ton blog, je te le répète ! Sinon, j'interdis à tous les copains de venir. Je vais peut-être mettre une photo, un détail, comme l'a fait Emilie. Sacrée paire d'yeux, entre parenthèses ! Elle a l'air de t'attendre au tournant… Ce n'est pas fait pour te déplaire, elle l'a bien compris. Je suis allée sur causeur, pour lire ses interventions. Elle n'est pas dupe de tes tours de passe-passe, mais elle ne m'a vraiment pas donné l'impression de te détester. Bon, Pat, à l'écritoire !
Anonymalienne,pour la photo,une sans chapeau, SVP ! Quant à celle que j'ai mise, elle me permet d'avoir toujours un oeil sur le blog! Ah, j'oubliais..dites à Patrick que je répondrai plus tard à son dernier message.
Emilie, vous pouvez vous adresser directement à moi. Je vous avais bien dit qu'une case vide voulait être comblée. Vous l'avez fait de très belle manière : votre regard, c'est beaucoup mieux qu'un clin d'œil. Je le sens sur moi comme celui d'une petite divinité malicieuse, qui ne me «passera» rien. Pensez à ma proposition (honnête) : vous avez de fort beaux yeux, et vous possédez une «tête» ainsi que, sur votre peau brune, au moins une excellente plume. Les filles à poil, je ne suis contre, mais les femmes à plume, je suis tout contre… Anony. : je ne vais plus à Drouot… depuis ce matin, et jusqu'à mercredi !
La paire d'yeux, le regard intense ont disparu, comme ils étaient venus. Elle ne veut pas laisser de trace derrière elle, la belle brune, même pas une larme… Reste la femme à plume. Elle m'intéresse aussi.
25 commentaires:
Bonne chance, Hussard
Quelle affaire ! J'aurais sans doute besoin de vos lumières. À bientôt !
vous m'ôtez les mots de la bouche Jérôme. Patrick, si j'osais, je dirais que vous voilà pris en sandwich. Nadia
Un sandwich, pour moi, c'est toujours sans beurre…
Cela dit, belle roumaine, c'est charmant d'être venu à l'inauguration.
Ici, ce n'est pas comme chez causeur, j'ai l'impression d'être un jeune marié, je ne sais pas quoi faire de mes mains.
Coucou ! C'était donc la surprise annoncée ?!Félicitations ! C'est grand, c'est beau, c'est confortable...Il y aura des textes ??:-)))
Et bravo à Alice pour la photo du cow-boy !
Demandez à Jérôme !
Gardez-les grandes ouvertes, accueillez, Patrick, laissez-les venir, ne laissez pas tomber le sourire. Après, seulement, vous pourrez les "toucher" vos hôtes.
Quelle sale gueule !
Déjà le titre volé à Godard, ça commence.
Je relève une petite erreur dans l'accroche!
En réalité, tous les garçons s'appellent Patriiiiiick!
Que la route sur ce site soit une nationale 7 estivale!
L'Ours.
On est là, on t'attend ! Toujours à faire durer le plaisir…
L'anonymalienne
Bon, alors, on parle de quoi maintenant qu'on a passé un quart d'heure à s'inscrire, se connecter, se perdre, retrouver les mots de passe dans la boîte à couture (eh oui, je couds parfois !)? Il est où Patriiick ?!
Et je suis la première inscrite au club des abonnés fidèles,c'est plus simple pour poster.
Beau temps sur la côte, mer belle, ciel d'azur...
Bon, Mandon, tu viens de créer un besoin, tu ne peux pas le décevoir, comprends-tu ? J'imagine que tu es en train de flâner, d'enchérir à Drouot, de résoudre un problème de géométrie dans l'espace, mais, maintenant, tout ça, c'est fini. On te demande à l'écritoire.
Pourquoi une photo de Jean-Pierre Castaldi déguisé en épouvantail à moineaux dans le profil ?
Ludovic «Double gras» Lefevbre : certes, les ravages du temps… Mais, je fus bien mieux que ce que vous êtes, vous serez bien pire que ce que je suis.
Prédiction bien incertaine, madame Irma. J'ai rarement vu une aussi sale gueule que la vôtre. J'ai fait un régime, l'affaire est réglée, mais, vous, votre trogne à la Castaldi, qu'est ce que vous pouvez faire, malheureux, victime de mère nature ?
Je comprends l'invention Alice, le fantasme auprès d'Emilie. Allons, pensez-vous que la dame va tomber sous le charme ? Vous n'avez pas les vers de Cyrano en compensation. Elle sera gentille et vous évitera un affront supplémentaire en n'étant pas franche, mais c'est tout. Votre main gauche restera donc votre compagne éternelle Mandon, votre Iseult. Ne parle t-on pas d'Iseult les mains blanches dans notre mythologie ? Triste et Iseult sa main blanche, le couple de l'année chez Causeur.
Vous connaissez ma compassion naturelle pour les gueux, et bien le gueux, je vous pardonne tout et souhaite de tout coeur que vous soyez très riche pour pouvoir baiser de temps en temps.
Vous étiez mieux que moi à 40 printemps, je ne vous crois pas.La forme du visage, les yeux etc, c'est impossible.
Allez, je ne viendrai plus perturber "le cercle des minables disparus", promis. Les histoires de profs Barbie dans l'âme, de bicyclettes même pas bleues, de photocopieuses, de pédophiles chassant en Irak ne sont pas pour ma noble personne.
Tout ceci est bien laid, bien sale.
Adieu Onan le barbare.
Patrick, qu'est ce que c'est que ce gros barbare assis sur une bitte d'amarrage, qui a l'air de te connaître ? Je sais que tu es très «social», mais là, je pense que c'est plutôt ta tendresse pour les animaux. Tu l'as sorti d'un chenil, ce rottweiler clochardisé ? Pourquoi n'interviens-tu pas immédiatement ? Oui, je sais «Il faut les laisser s'exprimer, ces cas sociaux, sinon, ils passent à l'acte sur une petit vieille.». Mais fais attention ! C'est ton blog, ici, tu as le droit et le devoir de censurer la malveillance. Sinon, tous les ratés de la bogosphère, plus tous ceux que tu as écharpés sur Causeur vont arriver ici. À propos de ce Lefebvre, je suis allée sur son blog. Oh là là ! Je cours encore ! Tout vacille chez ce pauvre type : l'esprit, la plume, les idées. On sent une grande misère morale. De plus, son truc, c'est un désert : personne ne le lit, à part un ou deux, paumés comme lui. à part un ou deux, paumés comme lui.
Patrick, fais disparaître les interventions malfaisantes de ce pauvre mec, cesse de «vouloir comprendre», cesse d'être «libéral». Mille bacci !
Quel Cerbère vous faites Anonymalienne ! On demande Orphée à l'entrée !
Émilie, vous revoici ! Je ne vous ai pas remercié pour votre… fidélité. Je ne doute pas qu'elle s'accompagnera d'un délicieuse ironie. Je vous ai dit ailleurs que, de tous ceux qui me détestaient, c'est vous que je préférais. Je le confirme. J'aimerais néanmoins que ce blog naissant ne sombre pas immédiatement dans la mauvaise querelle. Je savais que ce pauvre type viendrait ici, et que d'autres le suivraient, ou, même l'auraient précédé. Figurez-vous que, le suivant, une petite dizaine de messagers du fiel ont déposé leurs productions ici. Certes, j'ai pu éliminer, mais si cela devait se poursuivre… Nous verrons bien. Par ailleurs, je me rends compte qu'un blog bien tenu, c'est beaucoup de travail.
Mais, chère amie, vous n'avez rien dit de la première partie de mon Tour de France. Le sujet ne vous inspire-t-il pas ? même pas l'une de ces petites rosseries bien tournées dont vous avez le redoutable secret ? Quoi qu'il en soit, je vous livrerai la suite de Pédaler pour la France peut-être ce soir.
Autre chose : j'aimerais vous faire écrire sur l'éblouissement algérien, sur la déchirure, sur la rude adaptation à un nouveau territoire. j'aimerais vous lire sur le ton de la confidence lyrique maîtrisé qui est le vôtre. Vous devriez me proposer un sujet. Avez-vous un animal de compagnie (je ne parle pas d'un homme), dont nous pourrions placer la photographie ? Je trouve qu'une case vide veut être comblée… Je vous salue comme je vous estime.
«Je ne vous ai pas remerciée»
On attend la suite du Tour, Pat, puis on attend autre chose. On veut plus.Tu dois t'occuper de ton blog, je te le répète ! Sinon, j'interdis à tous les copains de venir. Je vais peut-être mettre une photo, un détail, comme l'a fait Emilie. Sacrée paire d'yeux, entre parenthèses ! Elle a l'air de t'attendre au tournant… Ce n'est pas fait pour te déplaire, elle l'a bien compris. Je suis allée sur causeur, pour lire ses interventions. Elle n'est pas dupe de tes tours de passe-passe, mais elle ne m'a vraiment pas donné l'impression de te détester.
Bon, Pat, à l'écritoire !
Anonymalienne,pour la photo,une sans chapeau, SVP ! Quant à celle que j'ai mise, elle me permet d'avoir toujours un oeil sur le blog! Ah, j'oubliais..dites à Patrick que je répondrai plus tard à son dernier message.
Emilie, vous pouvez vous adresser directement à moi. Je vous avais bien dit qu'une case vide voulait être comblée. Vous l'avez fait de très belle manière : votre regard, c'est beaucoup mieux qu'un clin d'œil. Je le sens sur moi comme celui d'une petite divinité malicieuse, qui ne me «passera» rien. Pensez à ma proposition (honnête) : vous avez de fort beaux yeux, et vous possédez une «tête» ainsi que, sur votre peau brune, au moins une excellente plume. Les filles à poil, je ne suis contre, mais les femmes à plume, je suis tout contre…
Anony. : je ne vais plus à Drouot… depuis ce matin, et jusqu'à mercredi !
La paire d'yeux, le regard intense ont disparu, comme ils étaient venus. Elle ne veut pas laisser de trace derrière elle, la belle brune, même pas une larme… Reste la femme à plume. Elle m'intéresse aussi.
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