«Il était à peu près 11 h du soir, près du pont Garigliano. Les combats ont duré toute la nuit du 11 au 12 mai 1944. J'ai alors pris la décision de posséder mes propres studios de cinéma. Je me suis dit que la guerre allait prendre fin, alors, j'ai eu envie de faire des projets. Avoir ses propres studios, c'est une situation de rêve ; en même temps, c'est une vie de cauchemar !» (Jean-Pierre Melville)
8 commentaires:
C'est tout de même Le Samouraï, mon préféré.
L'homme seul, la mélancolie virile, la ville.
Oui, c'est aussi mon préféré. Et c'est aussi mon univers. La mélancolie devrait être considérée comme une vertu. C'est, au vrai, une compagne très patiente, qu'on délaisse régulièrement, mais qui se poste au pied de notre immeuble ou au tournant de la rue.
Elle nous entoure de ses soins constants, que ne rebute pas notre mauvaise humeur.
Je dirai prochainement d'autres choses sur Melville : son temps était fini, certes, et je crois qu'il le savait. Quelle indépendance farouche, et quelle volonté de n'être pas tout entier dans une origine ! Seule la fiction est une origine universelle.
Mais vous savez cela, je suppose…
Patrick, la qualité plus que la quantité. Mais cela aussi vous le savez, je suppose... Et jevous embrasse en même temps.
Bonjour Patrick, oui, Melville, les films de mon enfance, et une préférence pour l'armée des ombres ou Melville, Réalise, adapte et scénarise entièrement le films, la classe! et un très bon films au final, et de plus, une troupe du feu-de-dieu, lino Ventura, Simone Signoret, Paul Meurisse, Jean-pierre cassel, Christian barbier, Paul Crochet et bien sur Serge Réggiani, «oups» un oublie, les dialogues aussi de melville, et bien sur le cercle-rouge et le samouraï, comme dit Jérôme ne son pas en reste, La-classe du films noir,
amitié jean
Oui Nadia, la qualité, encore et toujours…
JDLL, chacun de tes messages m'est un un enchantement. Je me demande souvent, lorsque tu disparais, ce que tut deviens et si tout va bien pur toi et pour tes proches. Je t'imagine à l'ombre de ton gros arbre, sur ta terrasse. J'aime beaucoup tes irruptions amicales.
Juste un mot - car je ne sais pas parler de cinéma, seulement le goûter - Melville, c'est fabuleux.
Sinon, je découvre un ami de Patrick, JDLL, à l'ombre de son gros arbre, semblerait-il ?
Ce poème de Paul Vincensini - ben oui ! encore lui !
Moi dans l'arbre
T'es fou !
Tire pas !
C'est pas des corbeaux,
C'est mes souliers !
Je dors parfois dans les arbres.
JMT, rendez-vous sans crainte chez Jean-de-la-Lune, ses colères sont saines et charmantes, il aime les jolies femmes, les beaux paysages, la révolte, les sentiments. Bref, il est très fréquentable !
Pile-poile Patrick, « Je t'imagine à l'ombre de ton gros arbre, sur ta terrasse» une très vieille-maison, au bord de la méditerranée, un jardin en fouillis, un énorme figuier, une pergola de vigne et de très bon repas entre amis, sans oubliez, le soleil, les plongées et les siestes, le calme, loin de la folie des villes, qui me pèse de plus en plus, trop spide, trop de bruit inutile et beaucoup trop de gens qui court pour rien,
amitié, jean
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