Jean-Pierre Melville avait veillé à lui donner une belle garde-robe, ainsi que de d'élégants chapeaux. Bourvil, très malade, mourut peu de temps après la sortie du film.
La dernière scène fut tournée dans le parc du château de Monthyon, propriété de Jean-Claude Brialy, près de Meaux, où termina ses jours Jacques Chazot, pauvre, abandonné de tous excepté de Brialy.
C'est d'ailleurs à Monthyon que cet homme de grande qualité s'est éteint, en 2007. Il a fait don de sa demeure (XVIIe-XVIIIe siècles) à la municipalité de Meaux, afin qu'elle en fasse un lieu «dans l'esprit de la villa Médicis».
2 commentaires:
Oui Patrick, tu a raison, jean-claude brialy était un homme bien, j'ai travaillez avec lui; saison- 2000/2001 au théâtre de l'odéon, pour, « mon père avait raison » de Sacha guitry et en saison 2001/2002 «poste-restante » de Noël coward, théâtre de l'odéon aussi, une personne fort sympathique et ouvert a tout le monde, d'ailleurs, la dernière représentation, nous fut invité chez lui a saint-Rémy-de-Provence ou la gouvernant avait préparer un sacrer repas et les vins qui vont avec, je garde le souvenir d'une personne simple et d'une forte gentillesse, tout comme Jacques-villeret et et Philippe Noiret avec qui j'ai travaillez sur; les côtelettes de Bertrand Blier, mais bon, la n'est pas le sujet de ton poste,
amitié, jean,
Le sujet de mon post, cher JDLL, c'est ce que ta fantaisie et ton expérience peuvent lui apporter.
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