Merci ami Patrick! Vous dédicacez à tout va. Mieux qu'au salon du livre! Un cadeau pour tous. "Plaisir d'offrir, joie de recevoir" comme était écrit sur les petites boites de couleurs des "tirettes à cent balles". Je retourne déballer mon cadeau et regarder ceux des autres, mais avant, il y a une chanson que j'aimerai vous "offrir": "Le feutre taupé" de l'autre grand Charles , qui me fait penser à vous à chaque écoute. Pour le feutre probablement , et puis Paris, le boulevard Raspail, choubidoubidouwa...
Pierre, j'ai trouvé que cette lettre à une amoureuse, qui avait manqué les cours d 'orthographe, vous convenait bien. Je sens, chez vous, quelque chose d'amusé, un comportement avec les dames, par exemple, à la fois émerveillé et moqueur. Vous devez être un comparse amoureux «sur ses gardes». Mais j'imagine seulement. Je trouve que cela vous va bien. Et puis, c'est un Gainsbourg à l'ancienne, notre préféré.
Merveilleux Patrick, tu sais trouver les mots et les mélodies, très gentil a toi, cela me touche fort, moi le cancre de ton blog, «même si quelque fois je comprend pas tout», mais chuuuttt, (rire) une chose est sur avec toi et quelqu'un ici, je suis comme a l'école, je prend et je réapprend a cultiver mon inculture, et, il y a du boulot, (rire) pour cela je te remercie milles-fois, cela me permettra aussi «j'espère», de ne pas trop finir idiot et de laisser mets fantômes enfoui au fond de moi, et comme je les dis a élise-vertige, vous transformées les existences de morts en vie, du moins, se qu'il veule bien (a)-prendre, voilà, je trouve plus les mots pour le dire, mais le cœur est-la, amitié-jean
JDLL, le cancre très doué que tu es ne nuit pas du tout à l'enchanteur que tu es plus encore. Tu as lu le message que je t'ai laissé sur ton blogue, tu as lu celui de Jérôme, :alors, certes, nous t"accordons le droit d'aller prendre l'air, de souffler un peu, à la condition absolue de la promesse de ton retour. Tu as des choses à nous dire. Je me répète : ton mode, c'est l'effet de surprise, le geste du prestidigitateur, la sorcellerie charmante, et l'invective destinée aux salopards. J'ajoute un goût très sûr pour les jolies femmes…
Oui, Patrick, entendu, je prend un peut de recul face aux insultes reçu par des gens toute aussi pauvre (culturellement) que moi et autre injonction de décervelé qui se régale a m'envoyer leur messages nauséabonds, quand aux autres, ils ne sont pas en reste derrière leur masque de sois-disant instruit et cultiver leur fourberie dépasse de large la fourberie des plus pauvres, a la différence prêt que eux, me méprise gentiment et cordialement, mais me méprise quand même, quelques fois je me demande qui sont vraiment les gens les plus bas, eux ou les pauvres? Je m'aperçois que le racisme est a tout les étages de l'arbre humain, et que les études ne font pas les larrons, les concernées se reconnaitrons!
Sinon Patrick, oui j'ai vu les massages sur mon blog, de monde-d'avant et de toi, c'est fort gentil a vous deux, la classe n'est pas donner a tout le monde et vous faite parti de cette catégorie de personne
j'en profite aussi pour passer une cordiale amitié a Joël-h, «la-crevaison!», qui a joint mon blog
Très cher Jean, le soutien actif, l'intérêt vrai que quelques-uns ici, que Jérôme Leroy, que moi-même portons depuis toujours à ta remarquable fantaisie, doublée d'une tendre mais sincère colère contre les injustices, tout cela doit te permettre de négliger les bassesses dont tu as pu être l'objet. Certes, mon cher Jdll, tu parsèmes tes jolis textes d'un grand nombre de fôtes dortografe ; mais, dans ton cas, on n'éprouve pas ce malaise qu'on peut ressentir devant les pauvres copies, souffrant d'une indécente dysorthographie, de ces blogueurs aigres, qui encombrent la toile. Tes fautes sont une partie de ton charme, elles fleurent bon l'écolier distrait, le cancre doué, elles ne trahissent pas une faille psychologique inquiétante. Ce qui est important, dans ton cas, ce sont les «surgissements» poétiques et les ruptures colériques, souvent surréelles : elles me séduisaient et m'amusaient toujours. Tes fautes de cancre charmant, tu peux les corriger si tu le souhaites, mais il faut que tu préserves ta spontanéité, ta fraîcheur généreuse. Nous gardons ton blogue en ton absence, mais reviens vite !
Oui, Patrick, tu ma fait rigoler la, «parsème» le mot et doux c'est un euphémisme la, (rire) je dirais plutôt un océan de fautes, mais bon, (rire) je ne corrigerais pas les fautes d'autographe ce serai un manque grave de ma part que de corriger celle-ci, sinon je rentre dans le jeu, aussi, je suis conscient de mets nombreuses lacune écolière, je peut tricher avec l'orthographe, bien sur, il est très simple de trouver un correcteur, mais se serait nul de ma part, je suis comme je suis et tant-pi si il y a des fautes, je sais que toute les attaques se concentre sur ceux-la, mais bon, je ne maquille rien et ses mieux comme cela,
et pour Jérôme Leroy, OK, no-soucie, je sais qu'il se montre respectueux et correcte envers les plus faibles,ces pour cela que je l'apprécie ainsi que toi.
8 commentaires:
Merci ami Patrick! Vous dédicacez à tout va. Mieux qu'au salon du livre! Un cadeau pour tous. "Plaisir d'offrir, joie de recevoir" comme était écrit sur les petites boites de couleurs des "tirettes à cent balles".
Je retourne déballer mon cadeau et regarder ceux des autres, mais avant, il y a une chanson que j'aimerai vous "offrir": "Le feutre taupé" de l'autre grand Charles , qui me fait penser à vous à chaque écoute. Pour le feutre probablement , et puis Paris, le boulevard Raspail, choubidoubidouwa...
Pierre, j'ai trouvé que cette lettre à une amoureuse, qui avait manqué les cours d 'orthographe, vous convenait bien. Je sens, chez vous, quelque chose d'amusé, un comportement avec les dames, par exemple, à la fois émerveillé et moqueur. Vous devez être un comparse amoureux «sur ses gardes».
Mais j'imagine seulement. Je trouve que cela vous va bien.
Et puis, c'est un Gainsbourg à l'ancienne, notre préféré.
Merveilleux Patrick, tu sais trouver les mots et les mélodies, très gentil a toi, cela me touche fort, moi le cancre de ton blog, «même si quelque fois je comprend pas tout», mais chuuuttt, (rire) une chose est sur avec toi et quelqu'un ici, je suis comme a l'école, je prend et je réapprend a cultiver mon inculture, et, il y a du boulot, (rire) pour cela je te remercie milles-fois, cela me permettra aussi «j'espère», de ne pas trop finir idiot et de laisser mets fantômes enfoui au fond de moi, et comme je les dis a élise-vertige, vous transformées les existences de morts en vie, du moins, se qu'il veule bien (a)-prendre, voilà, je trouve plus les mots pour le dire, mais le cœur est-la,
amitié-jean
JDLL, le cancre très doué que tu es ne nuit pas du tout à l'enchanteur que tu es plus encore. Tu as lu le message que je t'ai laissé sur ton blogue, tu as lu celui de Jérôme, :alors, certes, nous t"accordons le droit d'aller prendre l'air, de souffler un peu, à la condition absolue de la promesse de ton retour. Tu as des choses à nous dire. Je me répète : ton mode, c'est l'effet de surprise, le geste du prestidigitateur, la sorcellerie charmante, et l'invective destinée aux salopards. J'ajoute un goût très sûr pour les jolies femmes…
Oui, Patrick, entendu, je prend un peut de recul face aux insultes reçu par des gens toute aussi pauvre (culturellement) que moi et autre injonction de décervelé qui se régale a m'envoyer leur messages nauséabonds, quand aux autres, ils ne sont pas en reste derrière leur masque de sois-disant instruit et cultiver leur fourberie dépasse de large la fourberie des plus pauvres, a la différence prêt que eux, me méprise gentiment et cordialement, mais me méprise quand même,
quelques fois je me demande qui sont vraiment les gens les plus bas, eux ou les pauvres? Je m'aperçois que le racisme est a tout les étages de l'arbre humain, et que les études ne font pas les larrons, les concernées se reconnaitrons!
Sinon Patrick, oui j'ai vu les massages sur mon blog, de monde-d'avant et de toi, c'est fort gentil a vous deux, la classe n'est pas donner a tout le monde et vous faite parti de cette catégorie de personne
j'en profite aussi pour passer une cordiale amitié a Joël-h, «la-crevaison!», qui a joint mon blog
amitié Patrick
Très cher Jean, le soutien actif, l'intérêt vrai que quelques-uns ici, que Jérôme Leroy, que moi-même portons depuis toujours à ta remarquable fantaisie, doublée d'une tendre mais sincère colère contre les injustices, tout cela doit te permettre de négliger les bassesses dont tu as pu être l'objet. Certes, mon cher Jdll, tu parsèmes tes jolis textes d'un grand nombre de fôtes dortografe ; mais, dans ton cas, on n'éprouve pas ce malaise qu'on peut ressentir devant les pauvres copies, souffrant d'une indécente dysorthographie, de ces blogueurs aigres, qui encombrent la toile. Tes fautes sont une partie de ton charme, elles fleurent bon l'écolier distrait, le cancre doué, elles ne trahissent pas une faille psychologique inquiétante. Ce qui est important, dans ton cas, ce sont les «surgissements» poétiques et les ruptures colériques, souvent surréelles : elles me séduisaient et m'amusaient toujours. Tes fautes de cancre charmant, tu peux les corriger si tu le souhaites, mais il faut que tu préserves ta spontanéité, ta fraîcheur généreuse.
Nous gardons ton blogue en ton absence, mais reviens vite !
Oui, Patrick, tu ma fait rigoler la, «parsème» le mot et doux c'est un euphémisme la, (rire) je dirais plutôt un océan de fautes, mais bon, (rire) je ne corrigerais pas les fautes d'autographe ce serai un manque grave de ma part que de corriger celle-ci, sinon je rentre dans le jeu, aussi, je suis conscient de mets nombreuses lacune écolière, je peut tricher avec l'orthographe, bien sur, il est très simple de trouver un correcteur, mais se serait nul de ma part, je suis comme je suis et tant-pi si il y a des fautes, je sais que toute les attaques se concentre sur ceux-la, mais bon, je ne maquille rien et ses mieux comme cela,
et pour Jérôme Leroy, OK, no-soucie, je sais qu'il se montre respectueux et correcte envers les plus faibles,ces pour cela que je l'apprécie ainsi que toi.
amitié, jean,
Et merci encore a toi Patrick, sincère amitié, jean
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