vendredi 26 février 2010

Tour de main…

Ah, le brave garçon ! Et merci à Monsieur Eiffel pour avoir donné un modèle à tous les petits parisiens !











































Photographies © PM

16 commentaires:

Tanya a dit…

Ha!!!! Patrick - Vous êtes Too Much!

Corinne a dit…

Mme Eiffel avait bien de la chance d'avoir un mari si .. audacieux ! J'espère qu'il était au moins à la hauteur de ses ambitions. Un modèle en effet pour notre belle jeunesse !

Patrick Mandon a dit…

Corinne : enfin !

Corinne a dit…

D'ailleurs ne s'écriait-elle pas, Mme Eiffel, et à qui voulait l'entendre et notamment lors de la grande exposition qui fit connaître ce monument, emblème d'une virilité triomphante et qui, néanmoins laisse passer la lumière : "Ah ! quel bonheur d'avoir un mari bricoleur !" Cette exclamation est restée dans les annales, et a fait le succès que l'on sait de toutes les enseignes qui fournissent aux jeunes mariés et aux plus anciens de quoi occuper le repos dominical par une joyeuse agitation rythmée au sein du foyer, et parfois bien après que ne sonne midi, tant pis pour la messe.

Patrick Mandon a dit…

«[…] une virilité triomphante et qui, néanmoins laisse passer la lumière »
C'est excellent !

Corinne a dit…

Mais vous en êtes une autre, cher Patrick.

Patrick Mandon a dit…

Top bien ! comme disent les mômes.

Corinne a dit…

Tempête ! Tuiles envolées et panne d'électricité.. Mais la tour de Gustave est toujours debout, ouf ! il est bon de vous retrouver.

Patrick Mandon a dit…

Pas trop de casse, et, surtout pas de blessé, j'espère ! La tour est toujours là, et le petit parisien à la tour dressé également. Félicie, aussi !

Félicie a dit…

Vous êtes trop Parisien Patrick, vous ne pouvez apprécier les charmes des excès la nature.

Patrick Mandon a dit…

Félicie (aussi !) j'apprécie pourtant les excès de ma nature…
Savez-vous qu'il fit grand ce matin, à Paris ? Les branches jonchaient les rues, les jupes des filles, soulevées, découvraient, parfois, d'admirables choses, et, sur la Seine, les péniches amarrées tanguaient fortement.
Vous prétendez vous appeler Félicie… J'ai connu une Émilie, mais la bourrasque l'a emportée, hélas ! Étonnez-vous, après cela, que je n'aime pas les caprices de la nature…

Corinne a dit…

Hélas Patrick, ce n'était que moi "Félicie". Je conçois bien qu'Emilie vous manque et je suis sûre qu'elle vous lit, preuve en est ses interventions un peu en coup de vent ça et là..
Que faire ?
Emilie revenez ! Vous êtes irremplaçable.

Patrick Mandon a dit…

Dans «que moi», «que» est en trop. ! C'était vous, Félicie aussi, et ce n'est pas pas «que». Vous, c'est de l'invention constante, une maîtrise toujours accentuée du vocabulaire, une malice gracieuse, et, de temps à autre, une pointe de mauvais caractère. Rien «que» cela !

Corinne a dit…

Toutefois, Félicie (aussi), ce n'est pas très flatteur, je préfèrerais Fernande.

Patrick Mandon a dit…

Mais voyons, quand je pense à Félicie, aussi !

Corinne a dit…

Il est vrai que c'est une perle, même bancale et avec du poil, Ô, Pat! Après tout, ça n'se commande pas.