jeudi 12 novembre 2009

Entre deux

Ceci, dont on reparlera, pour le seul plaisir de l'entendre, pour la fraîcheur des cœurs, des intentions, des visages. Parce qu'un blog, toute proportion gardée, c'est un lieu où l'on craint de se perdre et où l'on espère se retrouver.



Et cette version, qu'on dira «paradisienne» :

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La version de Vanessa Paradis est un pur moment de grâce, je crois que tous ceux qui ont eu la chance d'y assister en ont eu intimement conscience et la chair de poule. Welcome back my friend.

Patrick Mandon a dit…

Je rentre seulement. Passé par causeur pour voir quelles traces de cambouis avait laissé le philosophe kanterbrau, l'inculte absolu. Ce type est vraiment la tache qu'on m'a décrite ; il pense comme un demi de bière. Par surcroît, j'ai l'impression que ce malade, ce psychotique passe son temps à nous lire ! Hanté par notre blog, qu'il est, ce réaconsphérique ! On dirait un obsédé sexuel, dissimulé dans la pénombre, le teint livide, en sueur, les mains tremblantes. Fermez vos corsages, les filles, il vous mate, le touche-pipi d'Ilys ! Bon, je retournerai chez causeur plus tard. Je n'admettrai jamais sa présence : ce sera lui ou moi. Zyva est une fameuse épée !
Nadia, la version «paradisienne» n'est ce pas, c'est un bijou !
Note : j'ai pris une photographie, ce soir, qui vous ravira. Les statues de pierre sont parfois d'une impudeur !