jeudi 1 octobre 2009

Chansons sentimentales

Une version qui m'était inconnue, en italien :



Et, puisqu'il est question de mélancolie, cette chanson, qui paraîtra d'un mièvre sentimentalisme, et très désuète à beaucoup, mais qu'il ne me déplaît pas d'avoir récemment découverte :



Enfin, cette version de The girl from the north country (voir Perdre le Nord) par Hugues le magnifique, dont la tête d'aigle blanc surgit du crépuscule :

Et encore ceci, version italienne d'une chanson adorablement impudique :

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Léo, les bas qui tiennent haut perchés comme les cordes d'un violon, une robe de cuir comme un fuseau et des cheveux qui tombent comme le soir... que voulez-vous qu'on ajoute ? C'est extra.

Patrick Mandon a dit…

Ajoutez Nadia !

Emilie a dit…

Quel bel homme cet Hugues !Frère de la gracieuse Pascale Audret, trop tôt disparue...

Anonyme a dit…

Je ne sais pas pourquoi, une chanson en italien, ça sonne tout de suite mieux. La sensualité des voyelles, contre la rugosité des consommes et des triphtongues anglaises ?

Patrick Mandon a dit…

Ah Nadia, si vous saviez combien j'aime les chansons italiennes ! À l'origine, ce sont des chants de paysan, de mariage, de réjouissance, de décès. À côté de cela, elles ont l'air gai et entraînant que leur donne la tarentelle sicilienne. Et puis ces voix éraillés, modifiées par le soleil, le vin rouge, les cailloux ! Toujours, la «canzone» est populaire, elle court dans la rue, comme en France, avec un côté canaille. Tiens, je vais aller en cherche une ou deux et les ramener ici.

Patrick Mandon a dit…

«je vais aller en chercheR»