Une version qui m'était inconnue, en italien :
Et, puisqu'il est question de mélancolie, cette chanson, qui paraîtra d'un mièvre sentimentalisme, et très désuète à beaucoup, mais qu'il ne me déplaît pas d'avoir récemment découverte :
Enfin, cette version de The girl from the north country (voir Perdre le Nord) par Hugues le magnifique, dont la tête d'aigle blanc surgit du crépuscule :
6 commentaires:
Léo, les bas qui tiennent haut perchés comme les cordes d'un violon, une robe de cuir comme un fuseau et des cheveux qui tombent comme le soir... que voulez-vous qu'on ajoute ? C'est extra.
Ajoutez Nadia !
Quel bel homme cet Hugues !Frère de la gracieuse Pascale Audret, trop tôt disparue...
Je ne sais pas pourquoi, une chanson en italien, ça sonne tout de suite mieux. La sensualité des voyelles, contre la rugosité des consommes et des triphtongues anglaises ?
Ah Nadia, si vous saviez combien j'aime les chansons italiennes ! À l'origine, ce sont des chants de paysan, de mariage, de réjouissance, de décès. À côté de cela, elles ont l'air gai et entraînant que leur donne la tarentelle sicilienne. Et puis ces voix éraillés, modifiées par le soleil, le vin rouge, les cailloux ! Toujours, la «canzone» est populaire, elle court dans la rue, comme en France, avec un côté canaille. Tiens, je vais aller en cherche une ou deux et les ramener ici.
«je vais aller en chercheR»
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