samedi 19 décembre 2009

Our kind of town : les brunes comptent pour la Pomme et pour Tous les garçons

Pour saluer les remarquables photographies et la grâce de Corinne, alias Cheveux d'encre, and to wish happy Hanukkah to Tanya Roessler, alia Lady T., ces petites choses qui me plaisent beaucoup et qui, toutes, ont un rapport avec New York.

The Pogues & Kirsty McColl, Fairytale Of New York.



Un nouvel extrait (voir article The fair Lady) du film Breakfast at Tiffany's, de Son Excellence Blake Edwards, avec Audrey Hepburn, George Peppard, Patricia Neal, Mickey Rooney. Scénario de George Axelrod, d'après une nouvelle de Truman Capote («foppish dandy, well known for his distinctive, high-pitched voice and odd vocal mannerisms, his offbeat manner of dress and his fabrications. He often claimed to intimately know people he had in fact never met, such as Greta Garbo.»), le plus grand écrivain américain de la seconde moitié du XXe siècle, à côté de qui Norman Mailer n'existe absolument pas !. Musique : Henry Mancini (paroles de la chanson Moon River, Johnny Mercer) directeur de la photographie (digne d'être rappelé) : Franz F. Planer. Les vêtements que portent Miss Hepburn sont signés Hubert de Givenchy.
Très belle vision de New York chic, au petit matin.



Cette chanson, interprétée par Nancy Sinatra, fille de son père, fut inspirée par la grande grève des transports de 1966, qui contraignit les New-Yorkais à arpenter le macadam, afin de rejoindre leurs lieux de travail.
Nancy Sinatra : This boots are made for walkin' (musique Lee Hazlewood, son mari à l'époque, paroles, Nancy Sinatra).



Cet extrait, également, du film On the town(1949), de Stanley Donen et Gene Kelly, avec Frank Sinatra, Gene Kelly, Jules Munschin, Betty Garrett, Vera-Ellen, Ann Miller… Les chansons pleines de gaieté, signées Betty Comden et Adolph Green, la musique de Leonard Bernstein, le tout inspiré du spectacle-ballet de Jerome Robbins «Fancy Free»), servent la découverte de New York par trois jeunes marins, qui s'enivrent de l'énergie de la Grosse Pomme.



Et encore, cette version, encanaillée, de New York New York, par Cat Power :



Enfin, The Voice, Frank Sinatra :

11 commentaires:

Tanya a dit…

And A Happy Hannukah Back to you, cher Patrick! New York style!!!!!!

Corinne a dit…

J'emporterai tout ça avec moi là-bas, je sacrifierai même mes dessous chics dans la valise. :-)

Corinne a dit…

..Happy Hannukah à Tanya aussi, bien sûr !

Tanya a dit…

Merci Corinne,
And may the thousands of New York Hannukah lights shine love on you and your family for the rest of the year!
And many days to come!

Patrick Mandon a dit…

Corinne, avez-vous vraiment cru que j'ignorais qui vous étiez, ailleurs ? Et avez-vous pris à mal mes interventions sur Pie ? Si cela était, j'en serais plus que désolé. Je sais ce que ce blog doit à votre talent, à votre présence chaleureuse et intelligente. J'ai pour vous tant d'estime ! Faites-moi savoir au plus vite que cela était un malentendu ! Je tue volontiers mes adversaires, mais ne puis supporter de blesser mes ami(e)s.

Corinne a dit…

Comme Saint Thomas Patrick, je crois ce que je vois. Mais, n'ayez crainte, grâce à votre prestation, vous vous êtes fait tout un tas de nouveaux amis. Je m'exile bien volontiers de ce monde virtuel, les bigoteries, les papes dégoupillés et les alliances opportunistes ne sont pas ma tasse de thé (au logis). Mais je manque certainement de subtilité.
Bonne continuation.

Patrick Mandon a dit…

C'est un malentendu ! Un désolant malentendu ! Puisque c'est ainsi, prenez toutes et tous connaissance et copie de ce qui vous intéresse ici, je ferme ce blog dans 24 h.
Je me fiche bien de me faire de nouveaux amis, j'emmerde Pie XII, les Imams, les Rabins, les curés, les crétins, les athées, les croyants, les abonnés à la SNCF, les anarchistes, les conspirateurs, les illuminés du septième jour, et tous les autres !

Anonyme a dit…

Et bien nous les emmerderons ensemble, cher Patrick et ne fermez pas votre blog, nous en serions fort marris (nous vague et général que vous traduirez par qui vous voulez voulez)

Anonyme a dit…

voulez voulez, n'importe quoi. Vous voyez, vous me faites écrire n'importe quoi, je sens le courroux m'emporter.

Emilie a dit…

Interdit à Patrick de fermer la boutique !
Je vous embrasse, à bientôt.

Anonyme a dit…

Vous voyez, elles sont venues, elles sont toutes là.