Tout va bien ! Nous allons vers l'affrontement général. Partout, dans le monde, triomphent les idées de l'extrême droite libertaire et néo libérale. Partout dans le monde, la notion de bien public s'estompe, au profit d'une rude et vaine idéologie «georgebushiste». Les groupes de pression s'organisent pour faire valoir les intérêts des communautés les plus étroites…
Certes, cela ne durera plus très longtemps, mais enfin, puisque c'est encore possible, je vous invite à partager quelques jolis moments avec moi.
(Cette adresse, où est traité intelligemment un sujet rare, par Martine Lutringer : toucher-piano.com/M_3_C_2.html)
«Qui me rendra seulement une heure de ces temps heureux ? Ce temps où nous étions ensemble si intimes et où chacun apportait aux autres avec une timidité naturelle l’enfant de son art, attendant, non sans quelque appréhension, leurs jugements affectueux et sincères, ce temps où, nous exaltant les uns les autres, une même aspiration vers le beau nous animait tous…» (Lettre de Schubert à son ami Schober, 21 septembre 1824)
Franz von Schober (1798-1882), né en Suède, fut un membre actif du cercle des amis et admirateurs de Schubert, qu'on appelle Schubertiade. Il écrivit le poème ”An die Musik", que Schubert mit en musique. Voici ce «lied», par Kathleen Ferrier (1912-1953) :
«De toute façon, je ne veux pas vieillir. Je ne veux pas économiser...» (Samson François, après son infarctus).
L'Impromptu op. 90 n° 3, du tendre Franz Schubert (1797-1828) par Krystian Zimerman, Alfred Brendel, un inconnu fort honorable, et Edwin Fischer :
1 commentaire:
Mother! Cette voix! Kathleen la grande! Elle vous prend, vous surprend et vous boulverse, du fond du bide jusqu'au dernier repli de l´âme. Du sol au plafond! Jamais virtuose, toujours émouvante.
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