Dimanche, 24 janvier 2010 : je reviens au chantier de la grande roue, les types me reconnaissent, me saluent de grands gestes… Il ne reste plus qu'une carcasse à désosser. Deux acrobates escaladent les deux derniers mâts, ôtent les pièces qui maintiennent solidaires les deux parties du bras, puis descendent. La grue entre en action ; en maintenant la flèche, elle permet au bras de se «casser» lentement, jusqu'au sol. Un attroupement s'est formé ; les parisiens assistent au démantèlement de la grande roue, avec une évidente sympathie pour les ouvriers athlétiques.
C'est fini ! Les mâts reposent sur la chaussée de la Concorde.
Quant à moi, promis, je ne vous embêterai plus avec la grande roue. Demain, un très bel article que Nadia a consacré à un écrivain remarquable et injustement oublié…
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