Le boulanger des petits oiseaux (ce matin, à Paris, pris sur le vif).
(photographies : PM)
38 commentaires:
Jocelyne m.
a dit…
Vous avez vu ce qu'on vous fait subir sur ce blog Patrick, c'est dégoutant de bêtise je trouve... et rédigé par un des affidé du nauséabond site I like your style en sus : http://thepatrickbatemanofficialblog.blogspot.com/2010/01/la-fete-battait-son-plein-et-je-ne.html
Jocelyne m., c'est aimable à vous de m'informer des tortures virtuelles que cet ahuri post-moderne prétend me faire subir, mais il me vient à l'esprit que si vous n'étiez pas une fidèle lectrice de ce genre de blog latrinaire, vous n'en auriez rien su… et moi non plus ! Pour ce qui est de la description de ma personne, elle est assez juste. Ainsi je me reconnais tout à fait dans la peinture de ce «corps musclé et vigoureux de sexagénaire épanoui». Il est dommage que ce portrait ressemblant soit gâché par d'effrayantes fautes de syntaxe. Néanmoins, leur nombre est très inférieur à celui qu'aurait totalisé M. Pétrone (alias XP) dans le même exercice. Et puis, il y a un je-ne-sais-quoi de cancre rigolard dans cet articulet bouffon, qui ne me paraît pas insupportable. Je me demande même si M. Pétrone, contre la volonté de l'auteur, n'y est pas plus ridiculisé que votre serviteur. Mon conseil, Jocelyne m. : cessez donc de lire les insanités des voyous racialistes. Si vous êtes une jeune femme, sortez plus souvent et rentrez accompagnée. Si vous êtes une vieille femme, énumérez les noms de vos amants pour trouver le sommeil. Kisses from Paris !
Ca a quelque chose de touchant, émouvant, l'homme aux oiseaux. Par ce froid en plus, il faut qu'il les aime ! Très belles photographies, vous avez su les saisir au vol !
Vous étiez où Patrick ? Provisoirement transformé en piaf de Paris ou chevauchant votre cerf-volant ? Corinne, si vous en êtes d'accord, on va gentiment raccompagner Jocelyne à la porte. Maurice et Robert l'y attendent de pied ferme.
Jocelyne m., vous avez vu les portraits de Corinne et de Nadia ? Vous comprenez mieux le privilège de ce blog ? De jolies femmes y disent des choses pertinentes et agréables. Mais, voyez-vous, ces jolies femmes ne se gâchent en fréquentant des blogs inutiles, voire déplaisants. Mon conseil : faites comme elles ! Corinne, Nadia, je vous embrasse chastement, parce que le sexagénaire «musclé et vigoureux» sait encore se tenir ! Note : Corinne, j'ai eu effectivement de la chance, ce matin. Ce type est incroyable, il est entouré d'oiseaux, et il veille à la répartition équitable de l'alimentation des oiseaux. il écarte les gros et donne d'abord aux moineaux. Pour le reste, il est très bourru.
Cette séquence, je vous l'assure, n'est pas «posée». Je crois avoir vu une fois ce personnage, mais il a l'air inabordable. C'est vraiment un coup de chance. J'y retournerai demain matin…
Nadia, je crois bien qu'elle s'est raccompagnée toute seule, Maurice et Robert n'ont même pas eu à bouger le petit doigt !
Qui sait si le jour où la foi en l'humanité m'aura quittée, je ne deviendrai pas une vieille femme excentrique et désabusée, qui ne trouvera plus de réconfort, comme lui, qu'auprès des chats et des oiseaux. Pour l'instant je n'ai qu'un matou, et il mange comme dix! Et je nourris aussi les petits oiseaux ! Mais j'ai encore un toit et quelques amis.
Yes, Lady T, it snows ! Paris, the cold, the snow, the ice in the streets, the women in fur coats, the Coco Chanel's ghost and the Elsa Schiaparelli's spirit near the Ritz's main entrance, my mother, Valentine, and her best friend, Thérèse… Where are they ? Where am I ? What's happened ? So long, Lady T, our amazing friend !
Hélas ! Ce matin, il faisait encore plus froid, l'homme n'était plus là, les oiseaux s'étaient déplacés. Mais je pense que je le reverrai. J'étais merveilleusement placé, sur une terrasse surplombant la scène. Voyez-vous, mes amies, j'adore ce temps : le froid me convient, il me vivifie. Je supporte moins bien la chaleur tiéde, la moiteur que le froid sec. Mais bien sûr, mes frères humains privés de domicile et les oiseaux, ne trouvent pas à la capitale enneigée le même charme. Ils souffrent et cherchent un misérable abri pour la nuit. Corinne en «vieille femme excentrique et désabusée» ! Ce passage de son petit texte mélancolique me conforte dans l'idée qu'elle pourrait nous donner un excellent récit… Note. J'en profite pour corriger ma faute : on n'écrit pas «scène posée», mais «pausée». Certains me trouvent assez «pauseur» pour que je m'épargne ce genre d'erreur ! Si vous avez des photographies relatives aux effets des intempéries (neige, glace) sur votre environnement (rues, maisons, paysages, monuments), je suis preneur. Enfin, Jocelyne m. a disparu comme «il» était venu…
Dear Patrick, as you must be happy in the snow! It's so romantic! Give us a snowman and take his picture for all your wives, please! Put him on your hat and top, write: "Love!"
Dearest Émilie, what a lovely surprise ! I miss you so ! A snowman ? Not enaugh snow, but I'll try (wait for the next snowfall). Chère marquise, un homme de neige, à votre contact, que dis-je, à votre seule vue, fondrait en quelques instants… Mais, en va-t-il autrement des hommes de chair ?
Au reste, chère Émilie, ma délicieuse cousine de Provence, n'est-ce pas à vous que je dois cette confidence : «Les hommes ? J'aime assez transformer leur tempête amoureuse en averse de neige…» ?
Caro Patrick, quindi spero che la neve stasera molto e che le sue mani belle, si può tagliare per noi questo pupazzo di neve che sembrano l'Apollo del Belvedere! Go Michelangelo!
Bon sang, comme vous êtes fin (et polyglotte)ici -et comme ces photos de ce misérable et sale et malodorant clochard sont poétiques et inspirées. C'est vraiment un honneur qu'on m'évoque sur ce blog je dois dire, et je remercie Jocelyne m. évidemment (c'est moche et cruel ce que vous lui faites subir, mais qu'est ce qu'elle est bête en même temps)pour cela... Je suis assez triste d'être perçu comme un voyou racialiste qui anime un blog latrinaire (alors que je suis un modèle d'humanisme et d'amour fraternisant: une fois j'ai même caressé un chien galeux... noir de surcroit)mais votre critique, Patrick, n'est finalement pas si mauvaise... Aussi, sans abuser de votre bonté, avez vous lu mon blog dans son entièreté? Quel conseil l'éditeur reconnu que vous êtes donnera au ridicule moustique muni d'un stylo bic bon marché (qu'il aura préalablement volé à un fonctionnaire honnête et consciencieux)que je suis?
Mon cher cousin, Me voilà rendue de la lande enneigée où j'étais partie tantôt faire un tour avec mon fidèle Hercule.Il gèle partout,et par endroits, la neige est tellement haute et dense que nous eûmes bien des difficultés à passer ! Mais Dieu que c'est beau !A couper le souffle ! Vous ne m'aviez pas dit que vous aviez un nouvel hôte au château, où ( presque ) tous les garçons s'appellent Patrick.Où êtes-vous allé le dénicher ? Encore un de vos compagnons de beuveries dans les tavernes du haut-pays ? Toutefois, je dois reconnaître qu'il s'exprime agréablement,que, même s'il fait de l'ironie, il sait rester courtois, et qu'il ne hante pas les lieux en chantant "La jeune garde" à en faire rougir monsieur le curé !
Ma cousine : «Vous ne m'aviez pas dit que vous aviez un nouvel hôte au château, où ( presque ) tous les garçons s'appellent Patrick.Où êtes-vous allé le dénicher ?» Ma belle aux yeux de braise, je m'étonne qu'une gracieuse lettrée nomme hôte un individu qui pourrait être un invité s'il n'était un intrus ! Je suis bien aise, ma cousine, de savoir que vous avez repris vos courses dans la garrigue, même prise sous la glace (je parle de la garrigue). Votre lyrisme dans la description du paysage m'a ému. J'ai retrouvé la sensibilité frémissante de la grande amoureuse que j'ai connue, avant votre retrait -ou prétendu retrait- du monde. Un instant, j'ai craint pour votre santé, à vous imaginer lancée dans une course folle, la poitrine fouettée par un vent glacial. Mais j'ai pensé que votre selle, comprimée par le fuseau de vos cuisses d'acier et pressée par votre admirable postérieur, dont l'affolante cambrure est encore accentuée par votre posture, que votre selle, donc, devait produire une intense chaleur, qui vous irradiait toute entière. Vous semblez trouver quelque séduction à ce M. Bateman. Vous ferez de ce garçon l'usage que vous voudrez, après qu'il vous aura adressé sa photographie réelle. Pour moi, je serai plus circonspect. Certes, je ne suis pas certain que son maître, l'ineffable Pétrone, éprouve la force sarcastique de ses hommages répétés. Mais enfin, à force de danser sa petite chorégraphie autour du navrant dysorthographique ilysien, votre nouveau protégé finira par connaître le pauvre destin d'une «pétronette» numérisée. Et puis, les portraits des starlettes de la pornographie américaine, dont il persille son blog, rendent compte de l'état de misère où est tombé le désir, aujourd'hui. Ces pauvres créatures peroxydées, perforées au botox, engoncées dans leur silicone, sourient à leurs sexploiteurs avec le masque figé des manucures froides du néo-libéralisme. Le mode humoristique qu'il s'est choisi, et pour lequel il montre quelque don, exige une sorte de perfection formelle et une complication renouvelée ; la raillerie distanciée, la cruauté ricanante ne supportent pas l'erreur. Son patronyme est une allusion directe à un piètre roman «générationnel», qui a fourni le scénario d'un film plus mauvais encore : ce n'est pas bon signe… Voilà, ma chère cousine, j'en ai fini avec ce monsieur, auquel vous ouvrez des espoirs. Mais, je n'en ai que provisoirement terminé avec vous, à qui j'adresse des pensées émues et respectueuses.
Emilie, vous êtes bien trop confiante, ce Patrick Bateman n'est certes pas un super héros ! Mais le choix des pseudos est souvent trompeur,voire antinomique : si cela se trouve, c'est un brave garçon qui vit seul avec sa vieille mère malade et n'a pour tout confident qu'un vieux chat angora au poil défraîchi. Je vous salue tous deux, et souhaite à Emilie la cavalière émérite une bien belle et bonne année, ainsi qu'à son fidèle destrier !
Corinne, nouvelle photographie ! Superbe ! j'aimais beaucoup l'avant dernière, mais celle-ci vous donne un caractère plus distant, plus énigmatique encore. Vous paraissez interroger vos interlocuteurs : quelle chance, je suis l'un d'entre eux !
Par où commencer?... Bon, déjà (merci), je suis ravi que l'on parle de moi (mon sujet de discussion favori)et suis désolé que l'attention se soit détournée de ce clochard au grand coeur (en même temps ce pauvre type n'a sûrement pas internet, encore moins de blog -un loser dans toute sa splendeur-, il n'en sera donc que très peu peiné, heureusement)en photo... Je suis assez surpris de ne pas avoir été censuré -j'expliquerai cela par de la solidarité inter-Patrick- alors qu'I like your style a, à de nombreuses reprises, caviardé ma précieuse et subtile pensée, voire carrément banni ma présence dernièrement (ce sont d'affreux fascistes comme chacun sait, et si c'est la première fois que je mets un pied ailleurs que sur ce site racialiste latrinaire: je ne suis pas déçu)... Vous semblez confondre, cher Patrick, le patrick_bateman qui vous parle, et celui qui raconte son aventure imaginaire avec XP, Millie et les autres sur mon blog... mais notez bien que je ne considère pas XP comme un maître ni comme un ami, bien qu'il me soit assez sympathique (je ressens peu ou prou la même chose pour chaque personne sur laquelle j'écris), mais qu'il n'est pour moi qu'une personne sur laquelle m'appuyer pour parvenir à un but: améliorer mon écriture, mon esprit, l'état de mon compte en banque... Concernant le livre "American psycho" et "les starlettes de la pornographie américaine", nous n'avons apparement pas les mêmes goûts, mais ce n'est pas bien grave j'imagine, vous avez le droit de vénérer la beauté de cageots à la Romy Shneider et les livres ultra-chiants de Balzac ou Flaubert -ça ne me pose aucun problème personnel... Corinne, oui, vous êtes moins moche sur cette photo que sur la dernière, Patrick a bien raison de le signaler -et j'approuverai toujours ce que dit Patrick... Concernant le choix de mon pseudo, j'aimerais qu'il soit antinomique à ma personne étant donné que Patrick Bateman est un triste sire en réalité (pour qui a compris le livre précédemment cité)mais je me rends bien compte qu'il me va comme un gant finalement... pour l'instant.
@ Emilie
Il y a une adresse privée sur mon blog si vous voulez en savoir plus sur moi. Sachez déjà que j'adore les chevaux (je déteste ces saletés malodorantes en vérité -simple technique de drague)et que je suis extrêmement reconnaissant de la gentille considération émise par vous dans votre commentaire (c'est ce que je recherche à travers mes textes et mes commentaires; mais la grande majorité des internautes croisant ma route, je le crains, me déteste et me désapprouve tout à fait)...
Patrick Bateman, je vous l'ai dit, le modèle d'humour que vous avez adopté ne supporte pas la médiocrité, or, vous avez été médiocre, je dirais même subalterne, dans votre dernière intervention. Alors, vous allez présenter vos excuses à Corinne avant de disparaître de notre adresse. Il n'est pas question que vous y insultiez quiconque. Même s'il est vrai que, considérant vos préférences en matière de beauté féminine, Corinne peut totalement mépriser votre jugement : les créatures qui peuplent votre blog sont cauchemardesques ! Dommage, mon vieux, vous aviez une chance, ici, de vous améliorer. Vous êtes décidément fait pour Ilys.
Patrick Bateman, je suis ravie que vous me trouviez moins moche, car être appréciée, ou plutôt pas trop dépréciée par un homme,(ou jeune homme ? vieil homme ? femme ? ado-pré-pubert ? le doute reste permis puisque vous ne dévoilez aucun de vos charmes, quel dommage) donc ravie de ne pas trop déplaire à l'impétueux écrivaillon bloguien que vous êtes, j'en aurais été bien marrie. Je me suis donc astreinte à lire consciencieusement le texte que votre amie Jocelyne a tenu si généreusement à nous faire partager et là .. rien. Je ne vous cache pas que j'ai été déçue, pas la moindre insulte, la moindre allusion bovine, porcine, insinuation graveleuse (et côté style, c'est un peu fouillis je trouve, une vache n'y retrouverait pas son veau, mais je ne suis qu'une piètre lectrice, j'en conviens). Comment ! Vos camarades pourtant, dont vous vénérez le plus éminent représentant, nous avaient habitués à beaucoup mieux. Mon appréciation vous indifférera sans doute, mais pas autant que les vôtres à mon sujet, quoique.. ne me cherchez pas trop quand même, vous pourriez me trouver et je ne pense pas que ni vous ni moi en ayons très envie.
J'ai dit que j'approuverai toujours ce que vous dites Patrick, mais là non, je me dédis immédiatement(on ne peut décemment pas me faire confiance): je n'ai pas été médiocre, ni subalterne, j'ai été bon -une question de goût, encore-, à l'habitude. La provocation minable consistant à critiquer le physique de Corinne n'était censé produire qu'un peu d'animation (notons que Corinne n'a décidé de s'intéresser à mon oeuvre d'écrivaillon bloguien qu'après celle-là)et de remous; on ne se refait pas, je suis un sociopathe, et j'aime les bons mots aussi (relisez-bien, vous comprendrez mieux l'allusion faite: si vous ne comprenez toujours pas, je vous l'expliquerai en détail, moyennant finance). En vérité, vous n'êtes pas moins moche Corinne, vous êtes belle, sur cette photo. Apprenez qu'une pudeur maladive, et la peur que par jalousie des désaxés ne souhaitent m'assassiner dans la rue, m'empêchent de déposer une photo de moi sur internet; mais je suis un bien charmant homme de 29ans si vous voulez savoir. C'est vrai, aussi, que je suis assez modéré comme garçon par rapport à mes amis antisémites, xénophobes et anthropophages d'Ilys, mais leurs outrances répétées cachent sans nul doute un très grand amour de l'humanité sous toutes ses formes (j'en fais peut-être un peu trop là)... Merci Corinne, Patrick, Emilie, de vos avis sur mon style, moi-même je le trouve un peu fouillis, améliorable... je les ai reçus avec plaisir... Il me faut maintenant disparaître, ici.
Adieu Bateman ! Vos goûts littéraires vous prédisposent plutôt à devenir pigiste chez Ilys (la moyenne de ce blog demeurant très basse il est vrai, car sévèrement désavantagée par la présence dans ses rangs de votre maître, le gastéropode anal-fait-bête Pétrone). Vous vous dites sociopathe : j'ai connu l'un de vos semblables, avéré ; il a très mal fini. Vous prétendez avoir vingt-neuf ans, il est temps de revenir aux fondamentaux : une bonne grammaire française et les classiques Garnier. Pour le reste, je ne sais si vous êtes «charmant», mais, ici, vous seriez vite devenu encombrant ! Une dernière chose, Bateman : l'humour, c'est une ascèse, un exercice proche de la spiritualité. On y perd beaucoup, on n'y gagne rien. L'humour, c'est de l'agonie différée ! Revenez dans trente ans, vous aurez alors mon âge : c'est assez dire que vous serez bien plus vieux que moi !
Mon statut ayant favorablement évolué dans le texte du sieur Bateman, puisque de truie à moustache je suis désormais passée à membre anonyme d'un groupe de Roumains qui finissent néanmoins fort mal (dans un bloc de béton où quelque chose du genre) et accompagnent Jérôme dans sa cruelle déchéance, je serais assez favorable à ce que nous lui opposions une indifférence indulgente. Son petit texte masque trop mal sa souffrance pour qu'à la rage de ne pas avoir été reconnu sur Ilys "à sa juste et monumentale valeur", voire exclu si j'ai bien compris, nous ajoutions nos sarcasmes faciles. Imaginez, ce petit jeune homme a tout de même pris le risque de venir exposer ici et chez Jérôme des textes gentiment benêts, sous des pseudonymes ridicules de surcroit. N'exagérons rien, le fait n'est pas courageux puisque masqué, mais touchant. Patrickus minus (il faut bien vous différencier) quête une approbation, un soutien, un rire, cette marque de considération suprême qui toujours se dérobe. Ménageons le, raccompagnons le poliment à la porte et souhaitons lui une douce reconversion dans la mécanique ou la chaudronnerie où son talent naturel pourra s'épanouir. Alors, Patrickus minus sera reconnu avec toutes les chances de devenir un homme, un vrai, un jour.
Ces personnages subalternes ont une manœuvre commune : ils «montent» des opérations en revêtant des identités multiples. Et toujours dans l'anonymat des lâches. Voyez l'exemple de ce fil : une prétendue Jocelyne m. semble m'alerter sur les «mauvais traitements» que je subirais sur un blog… Je déplore seulement l'injure faite à la belle Cheveux d'encre. Mais qui doutera de la beauté de Cheveux d'encre ?
Patrick, soyez rassuré,tout va bien mais je vous remercie d'avoir cette fois encore, défendu l'honneur de mon humble personne. D'autant que je n'ai jamais eu la prétention d'être un canon de beauté, loin s'en faut ! Par contre j'ai toujours été plutôt agréablement accompagnée par des représentants de l'autre sexe bien plus consistants que ces piètres pitres délétères. J'ai surtout passé l'âge de jouer les midinettes offusquées ! Laissons donc ces cancres là.
Bateman, allez roter ailleurs ! Vous sentez le mou de chat, et vous avez l'haleine ilysienne. Demandez à votre modèle, l'incertain Pétrone, s'il peut vous trouver un emploi de raseur de moquette chez Saint Maclou, il doit avoir ses entrées par la porte de service.
38 commentaires:
Vous avez vu ce qu'on vous fait subir sur ce blog Patrick, c'est dégoutant de bêtise je trouve... et rédigé par un des affidé du nauséabond site I like your style en sus : http://thepatrickbatemanofficialblog.blogspot.com/2010/01/la-fete-battait-son-plein-et-je-ne.html
Jocelyne m., c'est aimable à vous de m'informer des tortures virtuelles que cet ahuri post-moderne prétend me faire subir, mais il me vient à l'esprit que si vous n'étiez pas une fidèle lectrice de ce genre de blog latrinaire, vous n'en auriez rien su… et moi non plus !
Pour ce qui est de la description de ma personne, elle est assez juste. Ainsi je me reconnais tout à fait dans la peinture de ce «corps musclé et vigoureux de sexagénaire épanoui». Il est dommage que ce portrait ressemblant soit gâché par d'effrayantes fautes de syntaxe. Néanmoins, leur nombre est très inférieur à celui qu'aurait totalisé M. Pétrone (alias XP) dans le même exercice. Et puis, il y a un je-ne-sais-quoi de cancre rigolard dans cet articulet bouffon, qui ne me paraît pas insupportable. Je me demande même si M. Pétrone, contre la volonté de l'auteur, n'y est pas plus ridiculisé que votre serviteur.
Mon conseil, Jocelyne m. : cessez donc de lire les insanités des voyous racialistes. Si vous êtes une jeune femme, sortez plus souvent et rentrez accompagnée. Si vous êtes une vieille femme, énumérez les noms de vos amants pour trouver le sommeil. Kisses from Paris !
Ca a quelque chose de touchant, émouvant, l'homme aux oiseaux. Par ce froid en plus, il faut qu'il les aime ! Très belles photographies, vous avez su les saisir au vol !
"Jocelyne" visiblement a raté son effet !
Qu'est ce qu'elle a la "Corinne": l'est jalouse?
"Jocelyne m."
Oh oui ! extrèmement ! Vous êtes fine psychologue.
Vous étiez où Patrick ? Provisoirement transformé en piaf de Paris ou chevauchant votre cerf-volant ?
Corinne, si vous en êtes d'accord, on va gentiment raccompagner Jocelyne à la porte. Maurice et Robert l'y attendent de pied ferme.
Jocelyne m., vous avez vu les portraits de Corinne et de Nadia ? Vous comprenez mieux le privilège de ce blog ? De jolies femmes y disent des choses pertinentes et agréables. Mais, voyez-vous, ces jolies femmes ne se gâchent en fréquentant des blogs inutiles, voire déplaisants. Mon conseil : faites comme elles !
Corinne, Nadia, je vous embrasse chastement, parce que le sexagénaire «musclé et vigoureux» sait encore se tenir !
Note : Corinne, j'ai eu effectivement de la chance, ce matin. Ce type est incroyable, il est entouré d'oiseaux, et il veille à la répartition équitable de l'alimentation des oiseaux. il écarte les gros et donne d'abord aux moineaux. Pour le reste, il est très bourru.
Cette séquence, je vous l'assure, n'est pas «posée». Je crois avoir vu une fois ce personnage, mais il a l'air inabordable. C'est vraiment un coup de chance. J'y retournerai demain matin…
Nadia, je crois bien qu'elle s'est raccompagnée toute seule, Maurice et Robert n'ont même pas eu à bouger le petit doigt !
Qui sait si le jour où la foi en l'humanité m'aura quittée, je ne deviendrai pas une vieille femme excentrique et désabusée, qui ne trouvera plus de réconfort, comme lui, qu'auprès des chats et des oiseaux. Pour l'instant je n'ai qu'un matou, et il mange comme dix! Et je nourris aussi les petits oiseaux ! Mais j'ai encore un toit et quelques amis.
Amazing pics! Snow in Paris? Spectacular!
And Hello to Corinne and Nadia .
Yes, Lady T, it snows !
Paris, the cold, the snow, the ice in the streets, the women in fur coats, the Coco Chanel's ghost and the Elsa Schiaparelli's spirit near the Ritz's main entrance, my mother, Valentine, and her best friend, Thérèse…
Where are they ? Where am I ? What's happened ?
So long, Lady T, our amazing friend !
Hello Tanya !
Patrick, c'est vrai qu'elles sont très réussies vos photographies, on attend la prochaine becquée comme des moineaux affamés !
Same in London, with a great blue sky.
Hélas ! Ce matin, il faisait encore plus froid, l'homme n'était plus là, les oiseaux s'étaient déplacés. Mais je pense que je le reverrai. J'étais merveilleusement placé, sur une terrasse surplombant la scène.
Voyez-vous, mes amies, j'adore ce temps : le froid me convient, il me vivifie. Je supporte moins bien la chaleur tiéde, la moiteur que le froid sec. Mais bien sûr, mes frères humains privés de domicile et les oiseaux, ne trouvent pas à la capitale enneigée le même charme. Ils souffrent et cherchent un misérable abri pour la nuit.
Corinne en «vieille femme excentrique et désabusée» ! Ce passage de son petit texte mélancolique me conforte dans l'idée qu'elle pourrait nous donner un excellent récit…
Note. J'en profite pour corriger ma faute : on n'écrit pas «scène posée», mais «pausée». Certains me trouvent assez «pauseur» pour que je m'épargne ce genre d'erreur !
Si vous avez des photographies relatives aux effets des intempéries (neige, glace) sur votre environnement (rues, maisons, paysages, monuments), je suis preneur.
Enfin, Jocelyne m. a disparu comme «il» était venu…
Dear Patrick, as you must be happy in the snow! It's so romantic!
Give us a snowman and take his picture for all your wives, please! Put him on your hat and top, write: "Love!"
Dearest Émilie, what a lovely surprise !
I miss you so !
A snowman ? Not enaugh snow, but I'll try (wait for the next snowfall).
Chère marquise, un homme de neige, à votre contact, que dis-je, à votre seule vue, fondrait en quelques instants… Mais, en va-t-il autrement des hommes de chair ?
Au reste, chère Émilie, ma délicieuse cousine de Provence, n'est-ce pas à vous que je dois cette confidence : «Les hommes ? J'aime assez transformer leur tempête amoureuse en averse de neige…» ?
Caro Patrick, quindi spero che la neve stasera molto e che le sue mani belle, si può tagliare per noi questo pupazzo di neve che sembrano l'Apollo del Belvedere! Go Michelangelo!
Émilie, caro Vesuvio, non sono Michelangelo, ma…
Bon sang, comme vous êtes fin (et polyglotte)ici -et comme ces photos de ce misérable et sale et malodorant clochard sont poétiques et inspirées. C'est vraiment un honneur qu'on m'évoque sur ce blog je dois dire, et je remercie Jocelyne m. évidemment (c'est moche et cruel ce que vous lui faites subir, mais qu'est ce qu'elle est bête en même temps)pour cela...
Je suis assez triste d'être perçu comme un voyou racialiste qui anime un blog latrinaire (alors que je suis un modèle d'humanisme et d'amour fraternisant: une fois j'ai même caressé un chien galeux... noir de surcroit)mais votre critique, Patrick, n'est finalement pas si mauvaise...
Aussi, sans abuser de votre bonté, avez vous lu mon blog dans son entièreté? Quel conseil l'éditeur reconnu que vous êtes donnera au ridicule moustique muni d'un stylo bic bon marché (qu'il aura préalablement volé à un fonctionnaire honnête et consciencieux)que je suis?
Mon cher cousin,
Me voilà rendue de la lande enneigée où j'étais partie tantôt faire un tour avec mon fidèle Hercule.Il gèle partout,et par endroits, la neige est tellement haute et dense que nous eûmes bien des difficultés à passer ! Mais Dieu que c'est beau !A couper le souffle !
Vous ne m'aviez pas dit que vous aviez un nouvel hôte au château, où ( presque ) tous les garçons s'appellent Patrick.Où êtes-vous allé le dénicher ? Encore un de vos compagnons de beuveries dans les tavernes du haut-pays ? Toutefois, je dois reconnaître qu'il s'exprime agréablement,que, même s'il fait de l'ironie, il sait rester courtois, et qu'il ne hante pas les lieux en chantant "La jeune garde" à en faire rougir monsieur le curé !
Ma cousine : «Vous ne m'aviez pas dit que vous aviez un nouvel hôte au château, où ( presque ) tous les garçons s'appellent Patrick.Où êtes-vous allé le dénicher ?»
Ma belle aux yeux de braise, je m'étonne qu'une gracieuse lettrée nomme hôte un individu qui pourrait être un invité s'il n'était un intrus !
Je suis bien aise, ma cousine, de savoir que vous avez repris vos courses dans la garrigue, même prise sous la glace (je parle de la garrigue). Votre lyrisme dans la description du paysage m'a ému. J'ai retrouvé la sensibilité frémissante de la grande amoureuse que j'ai connue, avant votre retrait -ou prétendu retrait- du monde. Un instant, j'ai craint pour votre santé, à vous imaginer lancée dans une course folle, la poitrine fouettée par un vent glacial. Mais j'ai pensé que votre selle, comprimée par le fuseau de vos cuisses d'acier et pressée par votre admirable postérieur, dont l'affolante cambrure est encore accentuée par votre posture, que votre selle, donc, devait produire une intense chaleur, qui vous irradiait toute entière.
Vous semblez trouver quelque séduction à ce M. Bateman. Vous ferez de ce garçon l'usage que vous voudrez, après qu'il vous aura adressé sa photographie réelle. Pour moi, je serai plus circonspect. Certes, je ne suis pas certain que son maître, l'ineffable Pétrone, éprouve la force sarcastique de ses hommages répétés. Mais enfin, à force de danser sa petite chorégraphie autour du navrant dysorthographique ilysien, votre nouveau protégé finira par connaître le pauvre destin d'une «pétronette» numérisée. Et puis, les portraits des starlettes de la pornographie américaine, dont il persille son blog, rendent compte de l'état de misère où est tombé le désir, aujourd'hui. Ces pauvres créatures peroxydées, perforées au botox, engoncées dans leur silicone, sourient à leurs sexploiteurs avec le masque figé des manucures froides du néo-libéralisme. Le mode humoristique qu'il s'est choisi, et pour lequel il montre quelque don, exige une sorte de perfection formelle et une complication renouvelée ; la raillerie distanciée, la cruauté ricanante ne supportent pas l'erreur. Son patronyme est une allusion directe à un piètre roman «générationnel», qui a fourni le scénario d'un film plus mauvais encore : ce n'est pas bon signe…
Voilà, ma chère cousine, j'en ai fini avec ce monsieur, auquel vous ouvrez des espoirs. Mais, je n'en ai que provisoirement terminé avec vous, à qui j'adresse des pensées émues et respectueuses.
Emilie, vous êtes bien trop confiante, ce Patrick Bateman n'est certes pas un super héros ! Mais le choix des pseudos est souvent trompeur,voire antinomique : si cela se trouve, c'est un brave garçon qui vit seul avec sa vieille mère malade et n'a pour tout confident qu'un vieux chat angora au poil défraîchi.
Je vous salue tous deux, et souhaite à Emilie la cavalière émérite une bien belle et bonne année, ainsi qu'à son fidèle destrier !
Corinne, nouvelle photographie ! Superbe ! j'aimais beaucoup l'avant dernière, mais celle-ci vous donne un caractère plus distant, plus énigmatique encore. Vous paraissez interroger vos interlocuteurs : quelle chance, je suis l'un d'entre eux !
Distant.. je ne sais pas. Je me suis amusée avec un logiciel, basique, mais assez souple d'utilisation. Vos appréciations me sont précieuses, merci !
Par où commencer?...
Bon, déjà (merci), je suis ravi que l'on parle de moi (mon sujet de discussion favori)et suis désolé que l'attention se soit détournée de ce clochard au grand coeur (en même temps ce pauvre type n'a sûrement pas internet, encore moins de blog -un loser dans toute sa splendeur-, il n'en sera donc que très peu peiné, heureusement)en photo... Je suis assez surpris de ne pas avoir été censuré -j'expliquerai cela par de la solidarité inter-Patrick- alors qu'I like your style a, à de nombreuses reprises, caviardé ma précieuse et subtile pensée, voire carrément banni ma présence dernièrement (ce sont d'affreux fascistes comme chacun sait, et si c'est la première fois que je mets un pied ailleurs que sur ce site racialiste latrinaire: je ne suis pas déçu)...
Vous semblez confondre, cher Patrick, le patrick_bateman qui vous parle, et celui qui raconte son aventure imaginaire avec XP, Millie et les autres sur mon blog... mais notez bien que je ne considère pas XP comme un maître ni comme un ami, bien qu'il me soit assez sympathique (je ressens peu ou prou la même chose pour chaque personne sur laquelle j'écris), mais qu'il n'est pour moi qu'une personne sur laquelle m'appuyer pour parvenir à un but: améliorer mon écriture, mon esprit, l'état de mon compte en banque...
Concernant le livre "American psycho" et "les starlettes de la pornographie américaine", nous n'avons apparement pas les mêmes goûts, mais ce n'est pas bien grave j'imagine, vous avez le droit de vénérer la beauté de cageots à la Romy Shneider et les livres ultra-chiants de Balzac ou Flaubert -ça ne me pose aucun problème personnel...
Corinne, oui, vous êtes moins moche sur cette photo que sur la dernière, Patrick a bien raison de le signaler -et j'approuverai toujours ce que dit Patrick... Concernant le choix de mon pseudo, j'aimerais qu'il soit antinomique à ma personne étant donné que Patrick Bateman est un triste sire en réalité (pour qui a compris le livre précédemment cité)mais je me rends bien compte qu'il me va comme un gant finalement... pour l'instant.
@ Emilie
Il y a une adresse privée sur mon blog si vous voulez en savoir plus sur moi. Sachez déjà que j'adore les chevaux (je déteste ces saletés malodorantes en vérité -simple technique de drague)et que je suis extrêmement reconnaissant de la gentille considération émise par vous dans votre commentaire (c'est ce que je recherche à travers mes textes et mes commentaires; mais la grande majorité des internautes croisant ma route, je le crains, me déteste et me désapprouve tout à fait)...
Patrick Bateman, je vous l'ai dit, le modèle d'humour que vous avez adopté ne supporte pas la médiocrité, or, vous avez été médiocre, je dirais même subalterne, dans votre dernière intervention. Alors, vous allez présenter vos excuses à Corinne avant de disparaître de notre adresse. Il n'est pas question que vous y insultiez quiconque.
Même s'il est vrai que, considérant vos préférences en matière de beauté féminine, Corinne peut totalement mépriser votre jugement : les créatures qui peuplent votre blog sont cauchemardesques !
Dommage, mon vieux, vous aviez une chance, ici, de vous améliorer. Vous êtes décidément fait pour Ilys.
Patrick Bateman, je suis ravie que vous me trouviez moins moche, car être appréciée, ou plutôt pas trop dépréciée par un homme,(ou jeune homme ? vieil homme ? femme ? ado-pré-pubert ? le doute reste permis puisque vous ne dévoilez aucun de vos charmes, quel dommage) donc ravie de ne pas trop déplaire à l'impétueux écrivaillon bloguien que vous êtes, j'en aurais été bien marrie. Je me suis donc astreinte à lire consciencieusement le texte que votre amie Jocelyne a tenu si généreusement à nous faire partager et là .. rien. Je ne vous cache pas que j'ai été déçue, pas la moindre insulte, la moindre allusion bovine, porcine, insinuation graveleuse (et côté style, c'est un peu fouillis je trouve, une vache n'y retrouverait pas son veau, mais je ne suis qu'une piètre lectrice, j'en conviens). Comment ! Vos camarades pourtant, dont vous vénérez le plus éminent représentant, nous avaient habitués à beaucoup mieux. Mon appréciation vous indifférera sans doute, mais pas autant que les vôtres à mon sujet, quoique.. ne me cherchez pas trop quand même, vous pourriez me trouver et je ne pense pas que ni vous ni moi en ayons très envie.
J'ai dit que j'approuverai toujours ce que vous dites Patrick, mais là non, je me dédis immédiatement(on ne peut décemment pas me faire confiance): je n'ai pas été médiocre, ni subalterne, j'ai été bon -une question de goût, encore-, à l'habitude.
La provocation minable consistant à critiquer le physique de Corinne n'était censé produire qu'un peu d'animation (notons que Corinne n'a décidé de s'intéresser à mon oeuvre d'écrivaillon bloguien qu'après celle-là)et de remous; on ne se refait pas, je suis un sociopathe, et j'aime les bons mots aussi (relisez-bien, vous comprendrez mieux l'allusion faite: si vous ne comprenez toujours pas, je vous l'expliquerai en détail, moyennant finance). En vérité, vous n'êtes pas moins moche Corinne, vous êtes belle, sur cette photo.
Apprenez qu'une pudeur maladive, et la peur que par jalousie des désaxés ne souhaitent m'assassiner dans la rue, m'empêchent de déposer une photo de moi sur internet; mais je suis un bien charmant homme de 29ans si vous voulez savoir. C'est vrai, aussi, que je suis assez modéré comme garçon par rapport à mes amis antisémites, xénophobes et anthropophages d'Ilys, mais leurs outrances répétées cachent sans nul doute un très grand amour de l'humanité sous toutes ses formes (j'en fais peut-être un peu trop là)...
Merci Corinne, Patrick, Emilie, de vos avis sur mon style, moi-même je le trouve un peu fouillis, améliorable... je les ai reçus avec plaisir... Il me faut maintenant disparaître, ici.
Adieu Bateman ! Vos goûts littéraires vous prédisposent plutôt à devenir pigiste chez Ilys (la moyenne de ce blog demeurant très basse il est vrai, car sévèrement désavantagée par la présence dans ses rangs de votre maître, le gastéropode anal-fait-bête Pétrone). Vous vous dites sociopathe : j'ai connu l'un de vos semblables, avéré ; il a très mal fini. Vous prétendez avoir vingt-neuf ans, il est temps de revenir aux fondamentaux : une bonne grammaire française et les classiques Garnier. Pour le reste, je ne sais si vous êtes «charmant», mais, ici, vous seriez vite devenu encombrant !
Une dernière chose, Bateman : l'humour, c'est une ascèse, un exercice proche de la spiritualité. On y perd beaucoup, on n'y gagne rien. L'humour, c'est de l'agonie différée ! Revenez dans trente ans, vous aurez alors mon âge : c'est assez dire que vous serez bien plus vieux que moi !
Mon statut ayant favorablement évolué dans le texte du sieur Bateman, puisque de truie à moustache je suis désormais passée à membre anonyme d'un groupe de Roumains qui finissent néanmoins fort mal (dans un bloc de béton où quelque chose du genre) et accompagnent Jérôme dans sa cruelle déchéance, je serais assez favorable à ce que nous lui opposions une indifférence indulgente. Son petit texte masque trop mal sa souffrance pour qu'à la rage de ne pas avoir été reconnu sur Ilys "à sa juste et monumentale valeur", voire exclu si j'ai bien compris, nous ajoutions nos sarcasmes faciles. Imaginez, ce petit jeune homme a tout de même pris le risque de venir exposer ici et chez Jérôme des textes gentiment benêts, sous des pseudonymes ridicules de surcroit. N'exagérons rien, le fait n'est pas courageux puisque masqué, mais touchant. Patrickus minus (il faut bien vous différencier) quête une approbation, un soutien, un rire, cette marque de considération suprême qui toujours se dérobe. Ménageons le, raccompagnons le poliment à la porte et souhaitons lui une douce reconversion dans la mécanique ou la chaudronnerie où son talent naturel pourra s'épanouir. Alors, Patrickus minus sera reconnu avec toutes les chances de devenir un homme, un vrai, un jour.
Ces personnages subalternes ont une manœuvre commune : ils «montent» des opérations en revêtant des identités multiples. Et toujours dans l'anonymat des lâches.
Voyez l'exemple de ce fil : une prétendue Jocelyne m. semble m'alerter sur les «mauvais traitements» que je subirais sur un blog…
Je déplore seulement l'injure faite à la belle Cheveux d'encre. Mais qui doutera de la beauté de Cheveux d'encre ?
Patrick, soyez rassuré,tout va bien mais je vous remercie d'avoir cette fois encore, défendu l'honneur de mon humble personne. D'autant que je n'ai jamais eu la prétention d'être un canon de beauté, loin s'en faut ! Par contre j'ai toujours été plutôt agréablement accompagnée par des représentants de l'autre sexe bien plus consistants que ces piètres pitres délétères. J'ai surtout passé l'âge de jouer les midinettes offusquées ! Laissons donc ces cancres là.
Cheveux d'encre, canon vous fûtes, canon vous demeurerez. Restez ici et «laissons ces cancres là».
Patrick, vous me canonisez avant l'heure !
Bateman, allez roter ailleurs ! Vous sentez le mou de chat, et vous avez l'haleine ilysienne. Demandez à votre modèle, l'incertain Pétrone, s'il peut vous trouver un emploi de raseur de moquette chez Saint Maclou, il doit avoir ses entrées par la porte de service.
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